Nettoyagede la surface et posez votre grand autocollant sans bulle. La première chose à faire est de bien nettoyer la surface sur laquelle le grand sticker va être collé. Pour cela, évitez les produits trop gras. Prenez simplement un chiffon imbibé d’alcool à bruler puis nettoyer largement le support. Le support doit être lisse et

Des articles2022 Vidéo Vidéo Tuto - Comment poser un sticker sur une voiture. Contenu Les autocollants existent pour une variété d'idées, d'affiliations politiques, de marques, de groupes et tout le reste sous le soleil. Il y en a même qui représentent le bulletin de votre enfant! Certains autocollants sont attachés à la voiture directement chez le concessionnaire, tandis que d'autres nous les mettons. Mais quand nos idées et nos groupes favoris changent, ou que nos enfants finissent leurs études, il arrive un moment où nous voulons enlever vos autocollants. Bien qu'il ne soit pas aussi facile de retirer des autocollants de votre voiture que de les mettre en place, cela ne doit pas être frustrant. Ici, nous avons quelques astuces cool et, avec quelques articles ménagers, vous pouvez prendre des autocollants de voiture sur le corps ou les vitres de votre voiture en un rien de 1 sur 2 Utiliser un seau d'eau savonneuse et de dissolvant de goudronLes matériaux nécessairesSeau d'eau savonneuse de préférence chaudeSpatule en plastique ou toute carte en plastique, comme une carte de créditChiffonRasoir pour enlever les autocollants de fenêtre seulementÉpongeGoudronNettoyeur de vitres pour enlever les autocollants de fenêtreÉtape 1 Nettoyez l'autocollant. Nettoyage de l'autocollant, il sera plus facile de retirer de votre voiture. Nettoyez l'autocollant et la zone environnante de votre voiture avec de l'eau savonneuse et une éponge pour enlever tout excès de saleté et pour ramollir l'autocollant surtout s'il est vieux et patiné.Si l'autocollant est sur la fenêtre, remplacez l'eau avec un nettoyant pour vitres si vous le 2 Essuyez tout excès d'eau. Essuyez tout excès d'eau avec le chiffon, puis pulvériser l'autocollant avec une quantité généreuse de dissolvant de le dissolvant de goudron tremper dans l'autocollant pendant environ cinq minutes. Attendre aidera à décomposer la colle sur le 3 Tirez prudemment sur l'un des coins de l'autocollant. Si l'autocollant est sur le corps de votre voiture, soulevez l'un des coins en utilisant la spatule en plastique, ou une carte de crédit en plastique ou une carte de bibliothèque, ou même votre ongle. Si l'autocollant est sur la fenêtre, utilisez un rasoir pour travailler avec précaution pour soulever un Prenez des précautions et faites très attention de ne pas vous couper avec un rasoir. N'utilisez pas le rasoir pour enlever un autocollant sur le corps de la voiture. Il va rayer la 4 Décoller l'autocollant. Une fois que vous avez saisi le coin avec l'outil en plastique ou le rasoir, attrapez le coin avec votre main et commencez à le autant de l'autocollant que vous le pouvez. Si nécessaire, vaporisez plus de dissolvant de goudron et répétez le processus jusqu'à ce que l'autocollant soit complètement 5 Nettoyez la zone. Nettoyez la zone où l'autocollant était précédemment une éponge et de l'eau savonneuse ou le nettoyant pour vitres pour enlever tout excès de résidus que l'autocollant pourrait laisser avoir appliqué du savon ou du nettoyant, rincez la zone et 2 sur 2 Utiliser un sèche-cheveux et une carte en plastiqueLes matériaux nécessairesChiffon d'essuyage propreSèche-cheveux avec réglages à chaudCarte en plastique carte de crédit, carte d'identité, carte de bibliothèque, etc.Rasoir pour enlever les autocollants de fenêtre seulementNettoyeur de surfaceNettoyeur de vitres pour enlever les autocollants de fenêtreÉtape 1 Nettoyez l'autocollant. Nettoyez l'autocollant et la zone environnante de votre voiture avec le nettoyant de surface et le chiffon pour enlever tout excès de saleté et pour ramollir l'autocollant surtout s'il est vieux et patiné.Si l'autocollant est sur la fenêtre, remplacez le nettoyant pour 2 Utilisez un sèche-cheveux. Branchez le sèche-cheveux et tournez le réglage de la chaleur à chaud. Allumez-le et maintenez-le à quelques centimètres de l' un côté pendant environ 30 secondes. La colle sur le dos de l'autocollant devrait commencer à 3 Décoller l'autocollant du coin. Après que l'autocollant devient chaud et malléable, éteignez le sèche-cheveux et mettez-le de côté. Utilisez la carte en plastique ou le rasoir pour retirer uniquement les autocollants pour travailler dans un coin de l'autocollant jusqu'à ce qu'il commence à se décoller. Décollez autant de l'autocollant que vous le Prenez des précautions et faites très attention de ne pas vous couper avec le rasoir. N'utilisez pas le rasoir pour enlever un autocollant sur le corps de la voiture. Il va rayer la 4 Répétez les étapes au besoin. Répétez les étapes 2 et 3 au besoin, en utilisant le sèche-cheveux et la carte en plastique ou le rasoir de façon interchangeable jusqu'à ce que l'autocollant soit complètement 5 Nettoyez la zone. Nettoyez la zone à l'aide du nettoyant de surface ou du nettoyant pour vitres afin d'éliminer tout résidu excessif laissé par l' avoir nettoyé la zone, rincez-la une fois de plus et Une fois que tous les autocollants et autres débris ont été retirés de l'extérieur du véhicule, il est recommandé de cirer la peinture. La cire protège et scelle la peinture et la rend plus belle tout en étant plus durable. Les matériaux utilisés pour enlever les adhésifs peuvent également diluer la couche transparente et éliminer toute cire présente sur la général, enlever les autocollants de l'intérieur et de l'extérieur d'un véhicule augmentera généralement sa valeur. Ce que ce travail exige, c'est de la patience et une approche calme. Cela peut être extrêmement fastidieux et frustrant, alors si vous vous retrouvez sur le point de perdre votre sang-froid, prenez un peu de recul et respirez un moment avant de continuer. Avec l'autocollant désactivé, vous pouvez ramener votre voiture à sa présentation d'origine et vous pouvez ajouter de nouveaux autocollants comme vous le souhaitez.
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Certains types d’autocollants ou stickers peuvent laisser des traces sur la voiture, rendant ainsi son aspect peu élégant. Or, pour ne pas abîmer la peinture, il faut bien choisir la méthode adaptée pour enlever un autocollant de la carrosserie. Voici des astuces pour bien enlever un autocollant de la carrosserie sans l’abîmer. Sommaire1 La bonne méthode pour enlever un autocollant de la carrosserie2 Quelques méthodes efficaces pour retirer l’autocollant de la carrosserie3 Les produits à prohiber pour enlever les autocollants de la L’ Les éponges et les chiffons non Le liquide-vaisselle4 Les étapes à suivre pour décoller un autocollant de la Commencez par réunir le bon Procédez par étape5 Le detailing pour restaurer ou réparer une carrosserie abîmée La bonne méthode pour enlever un autocollant de la carrosserie Enlever un autocollant de la carrosserie d’une voiture est loin d’être simple, contrairement aux idées reçues. C’est une tâche aussi délicate que le débosselage de carrosserie, car on doit faire attention pour ne pas abîmer la peinture de la voiture. Il faut savoir que si la méthode choisie n’est pas appropriée, le résultat tout comme l’effet sur la carrosserie peuvent être catastrophiques et causer plus de mal que de bien à la peinture. Le décollage de sticker de la carrosserie ou tout autre autocollant ne s’improvise pas et certaines méthodes, notamment celles qui recourent à l’utilisation de certains produits d’entretien sont à prohiber car elles peuvent détériorer la peinture ou la carrosserie elle-même. Quelques méthodes efficaces pour retirer l’autocollant de la carrosserie Il est important de déterminer le type d’autocollant pour pouvoir choisir la bonne méthode. L’huile pour enlever un autocollant en papier il suffit de laisser le papier s’imbiber car il sera plus facile à retirer. Les températures extrêmes pour retirer les stickers cette méthode consiste à exposer l’autocollant longuement à la chaleur, puis à le décoller au fur et à mesure. Pour les colles plus tenaces, il faut alterner les températures extrêmes, en s’équipant d’un sèche-cheveux et d’un spray froid. Pour enlever les traces de colle, que ce soit pour un autocollant en papier ou pour un sticker, on peut utiliser de l’essence F ou de l’alcool à brûler. Les produits à prohiber pour enlever les autocollants de la carrosserie Certains produits sont couramment utilisés pour détacher la colle mais comme ils sont également corrosifs, le risque de détérioration de la carrosserie est élevé. Ce sont L’acétone Le produit est efficace pour enlever les traces de colle, en laissant la surface travaillée parfaitement lisse. Mais comme c’est un solvant, il peut aussi abîmer la peinture, en la rendant terne. L’acétone est donc à éviter si on ne veut pas retoucher la peinture auto, après le décollage des autocollants. Les éponges et les chiffons non adaptés Certains tissus d’entretien, trop durs, risquent de rayer la peinture de la carrosserie, car il faut bien frotter pour enlever les traces de colle. Il est donc important de bien choisir le chiffon à utiliser pour préserver la carrosserie. Le liquide-vaisselle Parce qu’il s’agit d’un produit de nettoyage, apparemment inoffensif, bon nombre de personnes sont tentées d’utiliser le liquide-vaisselle pour enlever un autocollant de la carrosserie. Or, sa composition chimique n’est pas toujours adaptée à la tôlerie, ce qui peut aussi ternir la peinture automobile. Les étapes à suivre pour décoller un autocollant de la carrosserie Commencez par réunir le bon outillage Vous aurez besoin de quelques outillages pour enlever correctement un autocollant de votre carrosserie sans l’abîmer, entre autres de l’huile de coude, d’un décapeur thermique ou d’un sèche-cheveux, d’une raclette en plastique, d’un diluant et d’un chiffon doux. Procédez par étape Commencez par chauffer l’autocollant avec le décapeur thermique ou le sèche-cheveux en effectuant des petits mouvements. À l’aide d’une raclette en plastique, ou d’un objet non pointu en plastique de préférence, grattez l’autocollant. Procédez étape par étape jusqu’à retirer intégralement l’autocollant. Enlevez les traces de colle, à l’aide d’un diluant nettoyant, mais assurez-vous que le produit choisi ne soit pas prohibé pour la carrosserie. Le detailing pour restaurer ou réparer une carrosserie abîmée Il arrive que malgré toutes les précautions prises lors du décollage d’autocollant, on a détérioré la carrosserie, soit en rendant la peinture terne, en rayant la peinture, soit en provoquant des égratignures. Sachez qu’il existe quelques astuces pour la restaurer. C’est le but du detailing ». Il s’agit d’un procédé aux nombreuses étapes qui vous permettra de résorber les micro-rayures et de redonner de l’éclat à votre carrosserie. À noter cependant que le détailing » diffère d’une voiture à l’autre, d’où l’intérêt de confier cette tâche à un carrossier compétent. Pour contacter un carrossier compétent pas cher, près de chez vous et qui propose de faire le détailing » de votre voiture au meilleur prix, il suffit de consulter notre annuaire. Certes, avec de l’expérience et de la patience, toute personne habile de ses mains et passionnée de voiture peut réussir à enlever un autocollant de la carrosserie d’une voiture. Il suffit de choisir la méthode adéquate et les bons produits. Sachez cependant que faire appel aux professionnels vous permettra d’obtenir un résultat impeccable. Retirerl'autocolant en frotant avec du White Spirit et un chiffont. Ensuite passer la voiture avec un dégraissant. Ils nous à fallut une demi journée à deux sur une corsa dont 100% de la carrosserie était masqué par l'autocolant (Pub). alicantor.
La rouille est incontestablement lennemi n°1 de la voiture ancienne. Restaurateurs, collectionneurs, ou même simples amateurs, tous craignent l’apparition de la corrosion sur leurs véhicules anciens. Alors, quelles sont les solutions pour éliminer la rouille lorsqu’elle s’est déjà installée ? Quels sont les meilleurs produits et techniques pour stopper l’oxydation ou éviter qu’elle ne refasse son apparition ? Comment prévenir et limiter le développement de la corrosion sur nos voitures anciennes ? On tente de répondre ici à toutes ces questions ! I/ ÉLIMINER LA CORROSION LES TECHNIQUES “MÉCANIQUES” POUR DÉCAPER LA ROUILLEDécapage à la disqueuse + brosse métallique ou disque à décaperDécapage à la brosse métallique montée sur touretDécapage à la brosse métallique montée sur perceuse ou DremelDécapage par ponçageDécapage au disque à meulerLes techniques de sablageII°/ LES SOLUTIONS “CHIMIQUES” CONTRE LA ROUILLESupprimer la rouilleStopper et convertir la rouilleIII°/ PROTÉGER LE MÉTAL DE LA CORROSIONCas N°1 le métal est sain. On utilise la protection en 3 couches primaire, apprêt garnissant, peinture de finitionCas N°2 le métal est corrodé Cas N°3 protéger les zones inaccessibles et corps creuxCas N°4 la protection du châssis et des passages de roueCas N°5 la protection du bloc moteur / pièces moteurCas N°6 la protection intérieure du bloc moteurCas N°7 la protection du collecteur et tubulures d’échappement Cas N°8 la protection du réservoir d’essenceCas N°9 la protection avant et après soudure par pointsCas N°10 la protection de la visserie et des petites piècesIV°/ QUELQUES CONSEILS POUR PRÉVENIR L’APPARITION DE LA ROUILLEFuir le sel de déneigementContrôler les infiltrations d’eau et éviter l’eau stagnanteNe pas stocker sa voiture sous un arbre I/ ÉLIMINER LA CORROSION LES TECHNIQUES “MÉCANIQUES” POUR DÉCAPER LA ROUILLE Nous allons voir ici toutes les techniques de décapage du métal à l’aide d’un abrasif, quel qu’il soit. Attention, ces techniques nécessitent tous l’utilisation d’équipements de protection individuelles EPI. Décapage à la disqueuse + brosse métallique ou disque à décaper C’est une technique souvent utilisée, car le travail est rapide et efficace. On peut en effet décaper de grandes surfaces même très corrodées, le tout assez rapidement. Cette technique est particulièrement adaptée aux grandes surfaces planes plus délicate en revanche dans les zones difficiles d’accès. Attention, l’utilisation d’une disqueuse avec une brosse métallique nécessite un équipement de protection complet gants, masque pour les yeux les lunettes ne protègent pas suffisamment, croyez-en mon expérience, masque respiratoire pour la poussière et bouchons d’oreilles ou casque anti-bruit. Les + rapidité, efficacité, surtout pour les grandes – travail bruyant et générant beaucoup de poussières, peu adapté aux petites pièces ou recoins. L’arme fatale contre la corrosion ! Un autre moyen extrêmement efficace et très rapide pour décaper la corrosion sur des surfaces planes le disque à décaper. Il permet d’obtenir une meilleure finition que la brosse métallique. Gants cuir, masque pour les yeux, masque respiratoire, bouchons d’oreille…il s’agit pour moi des équipements de sécurité obligatoires pour utiliser une disqueuse avec une brosse métallique. En effet les fils torsadés de la brosse peuvent sauter à tout moment, le travail est extrêmement bruyant et émet beaucoup de poussières. Décapage à la brosse métallique montée sur touret C’est une excellente technique pour décaper les pièces mobiles petites pièces ou visserie par exemple. Le touret est à mon sens un indispensable dans l’atelier de tout amateur de voiture ancienne, c’est puissant et stable donc très pratique. J’en ai un depuis 3 ans maintenant, je m’en sers absolument tout le temps ! Pour ceux qui n’ont pas de touret, vous pouvez également monter une brosse métallique sur une perceuse que vous coincez dans les mords d’un étau. C’est moins efficace qu’un touret, mais ça peut très bien faire l’affaire. Les + sécurité, efficacité et rapidité pour les pièces – nécessite de pouvoir démonter la pièce. Une brosse métallique montée sur touret, ça change la vie ! Décapage à la brosse métallique montée sur perceuse ou Dremel Moins efficace en terme de rapidité que les 2 techniques précédentes, l’utilisation d’une brosse métallique montée sur perceuse ou une Dremel permet d’atteindre des zones généralement inaccessibles ou délicates. La perceuse ou Dremel se révèlent très efficaces en “finition” angles, intérieur de pièces…, après avoir dégrossi avec une disqueuse par exemple. Les + travail de précision et de finition possible, permet d’atteindre des zones difficiles d’ – travail logiquement moins rapide et moins efficace qu’avec une disqueuse. Le genre de brosse métallique qui se monte sur les perceuses. La Dremel est un formidable outil pour les zones difficiles d’accès ou pour les travaux de précision. Pour décaper avec la Dremel, j’utilise personnellement un petit disque à meuler. Décapage par ponçage On utilise le ponçage pour décaper la rouille lorsque celle-ci ne se trouve qu’en surface. En effet, l’utilisation d’un papier abrasif ne permet pas d’enlever la rouille lorsque celle-ci a déjà bien attaqué le métal en profondeur et a formé des creux. Le ponçage permet en revanche d’obtenir une plus belle finition qu’avec une brosse. On peut utiliser plusieurs techniques ponçage à la main pour les petites pièces, à la ponceuse pour les grandes surfaces planes, ou encore une ponceuse à ruban d’établi. Pour les papiers abrasifs, on utilise d’abord du gros grain <100 pour décaper de la toile émeri de préférence, bien plus résistante que du papier classique. Ensuite, vous passez à du grain plus fin selon la finition que vous désirez. Les + efficace dans les zones inaccessibles et pour les petites pièces, meilleure finition que la – n’est réellement efficace que pour la rouille en surface. Voilà ce que j’utilise généralement pour décaper par ponçage des petites pièces ou des zones autrement inaccessibles de la toile émeri en grain P80. La boîte à air d’origine du moteur de R5… Sale état n’est-ce pas ? On va s’occuper de son cas 😉 J’aurais pu la décaper entièrement avec d’autres méthodes plus efficaces chimique ou brossage au touret, mais étant donné que le métal de la boîte à air était attaqué en profondeur, je ne voulais pas perdre trop de matière et que l’on ne voit plus l’inscription. J’ai donc choisi un décapage de surface à la toile émeri, puis je traiterais au Rustol CIP pour stabiliser la rouille. Les + efficace dans les zones inaccessibles et pour les petites pièces, meilleure finition que la – n’est réellement efficace que pour la rouille en surface. Décapage au disque à meuler L’utilisation d’un disque à meuler monter sur disqueuse ou sur une Dremel, permet de décaper la rouille lorsqu’elle est déjà bien profonde et que le décapage à la brosse métallique ne suffit pas. On l’utilise donc quand le métal est assez épais et que la pièce nécessite d’enlever de la matière pour accéder au métal sain. Les + seule technique vraiment efficace avec le sablage lorsque le métal est épais et qu’il est attaqué en – n’a pas d’intérêt pour les autres utilisations, privilégier la brosse métallique dans ces cas-là. Le disque meuler n’est à utiliser que lorsque les autres techniques n’ont pas fait leur preuve. En effet, sur des pièces ou des tôles trop fines, vous risquerez d’enlever trop de matière et de faire des trous non voulus. Les techniques de sablage Le sablage est la technique la plus rapide, la plus efficace et procurant la meilleure finition de toutes les techniques de décapage. En revanche, elle nécessite un matériel important cabine de sablage, gros compresseur qui est souvent réservé aux professionnels. Il est néanmoins possible pour les amateurs d’avoir ce matériel dans leur atelier si le budget et la place le permet. Ces techniques consistent à projeter du sable ou autre abrasif, comme des billes de verre sous pression sur les pièces pour les décaper complètement. On utilise aussi bien cette technique pour décaper une carrosserie complète que pour des petites pièces moteur par exemple. Les + efficacité, rapidité pour n’importe quel type de – matériel coûteux et encombrant, rarement à la portée des particuliers. Toutes ces techniques mécaniques permettent, chacune à leur façon, de retirer un maximum de corrosion sur les pièces métalliques. Attention cependant, la plupart de ces techniques sauf le sablage bien entendu ne permettent pas d’obtenir un métal 100% sain si celui ci a été attaqué en profondeur. C’est donc une bonne première approche vers l’obtention d’un métal sain, mais il faudra tout de même les protéger avec des peintures et autres produits chimiques qui vont stabiliser la corrosion avant d’appliquer votre finition. Nous parlons de ça plus en détails plus bas ! 🙂 II°/ LES SOLUTIONS “CHIMIQUES” CONTRE LA ROUILLE D’une manière générale, il est préférable de décaper complètement la rouille pour repartir sur un métal sain. Mais comme on vient de le voir, il est parfois difficile d’atteindre un métal 100% sain par les procédés mécaniques de décapage. De plus, dans certains cas il est préférable de ne pas décaper Lorsqu’il ne reste pas suffisamment de matière et que l’on risque de percer le métal par les zones sont inaccessibles corps creux notamment ou que les pièces ont une forme particulière et que l’on ne peut pas passer la brosse métallique ou le papier de verre. C’est pourquoi il existe des solutions chimiques qui vont permettre soit de stabiliser la rouille et de stopper sa propagation, soit de la supprimer pour retrouver un métal sain. Supprimer la rouille Le dérouillant phosphatant Il est possible, chimiquement, de supprimer la rouille pour retrouver un métal sain. Ces produits, appelés “destructeurs de rouille”, ou “dérouillants phosphatant”, sont principalement composés d’acide phosphorique. Ils permettent à la fois de dissoudre la rouille sans attaquer le métal et de laisser un film protecteur phosphate sur l’acier permettant de le protéger temporairement de la corrosion le temps qu’il soit à nouveau traité. J’utilise le dérouillant phosphatant avant tout par trempage je fais tremper mes petites pièces ou ma visserie dans un récipient contenant une solution d’acide phosphorique. Quelques heures plus tard, la pièce en métal ressort complètement sain. Je trouve en revanche le produit moins efficace lorsqu’il est simplement appliqué avec un pinceau, à moins que la rouille ne soit que superficielle. Voici des pièces bien rouillées en profondeur, qui composent le galet tendeur de courroie sur un moteur de 4L. Je fais tremper mes pièces quelques heures dans une solution d’acide phosphorique aussi appelé dérouillant phosphatant. Quelques heures après, les pièces ressortent comme neuves ! Il y a un dépôt gris foncé sur l’acier, c’est normal, il s’agit du phosphate qui vient protéger le métal d’une corrosion prématurée. Néanmoins le métal est maintenant mis à nu, il va falloir le traiter, ici par électro-zingage j’en parle plus bas, au point 10 de la 2ème partie. Concernant mes conseils sur les dérouillants à utiliser, j’en parlerai dans un prochain article ! Destruction de la rouille par électrolyse C’est une technique consistant à utiliser un bain d’une solution de soude et dans lequel vous faites passer un courant entre une anode morceau d’inox et une cathode pièces à désoxyder. Je vous laisse consulter l’article de la 4L de Sylvie qui est très bien expliqué. Voici le principe en dessin Source blog la 4L de Sylvie. Stopper et convertir la rouille Les convertisseurs de rouilleIl existe sur le marché une multitude de produits chimiques qui doivent permettre de stopper la propagation de la rouille tout en isolant le métal. On les appelle communément “convertisseurs de rouille”, puisqu’ils utilisent la rouille pour la stabiliser. On les applique directement sur la rouille qui doit quand même être légèrement brossée au préalable si elle est friable. Ces produits peuvent généralement s’appliquer au pinceau et présentent donc l’intérêt de pouvoir recouvrir des zones et des recoins de carrosserie ou de châssis par exemple qu’on ne peut pas décaper faute d’accès. Certains convertisseurs de rouille, comme l’excellent Rustol Owatrol, peuvent également se mélanger à des peintures de finition comme diluant et pour renforcer l’action anti-corrosion. Il en existe plusieurs sur le marché Le Rustol OwatrolLe FrametoLe Ferose, qui présente l’avantage de pouvoir être recouvert par n’importe quel type de peinture et qui est électrosoudable. Attention, tous les convertisseurs de rouille n’ont pas la même efficacité. Je recommande fortement le Rustol Owatrol attention tout de même à la compatibilité avec les peintures venant en recouvrement et le Ferose, beaucoup moins le Frameto, mais ce n’est que mon retour d’expérience. 🙂 Ferose, le convertisseur de rouille recommandé pour l’automobile. Rustol Owatrol, certainement un des meilleurs antirouille du marché. Les primaires direct sur rouille Ces primaires fonctionnent un peu comme des convertisseurs de rouille en tout cas, les bons primaires, à la différence près qu’ils doivent obligatoirement être recouverts par une peinture de finition peinture bicomposant 2K généralement. Ils stabilisent la rouille, isolent le métal et préparent la surface pour la couche suivante. C’est une excellente solution lorsque le métal n’est pas exempt de rouille à 100% faute de pouvoir décaper par exemple et que l’on veut malgré tout obtenir une protection anti-corrosion durable et avoir une bonne finition en recouvrement. Un des primaires les plus connus est le Rustol CIP, un produit que j’adore pour son efficacité. Dans le monde de la voiture ancienne, pour les primaires antirouille, beaucoup ne jurent que par le Rustol CIP. Les peintures directe sur rouille Il y a un peu de tout dans cette catégorie. Ce sont normalement des peintures pour métal dans lesquelles sont incorporés des agents inhibiteurs de rouille pour stopper celle-ci. Comme leur nom l’indique, on peut les appliquer directement sur la rouille, sans décapage préalable. Elles font office à la fois d’apprêt anti-rouille et de peinture de finition. Néanmoins, la tenue dans le temps est assez limitée… en fait, cela dépend surtout de la qualité de la peinture. D’ailleurs, c’est très souvent inscrit sur les pots de peinture cela peut aller d’une garantie contre la corrosion 2 ans à une garantie 15 ans… En règle générale, lorsque mon support n’est pas totalement sain, je préfère éviter ce genre de peinture à moins d’y incorporer du Rustol Owatrol par exemple et utiliser la bonne vieille méthode de l’apprêt anti-rouille recouvert par une peinture bicomposant. C’est beaucoup plus long et plus coûteux, mais aussi et surtout beaucoup plus durable. III°/ PROTÉGER LE MÉTAL DE LA CORROSION Maintenant que vous connaissez toutes les techniques pour combattre la rouille, nous allons voir les techniques pour prévenir l’apparition de la rouille. Il en existe beaucoup, et celles-ci vont dépendre de plusieurs facteurs métal sain ou non, humidité du milieu, accessibilité, chaleur… Je vous explique tout ici ! 😉 Cas N°1 le métal est sain. On utilise la protection en 3 couches primaire, apprêt garnissant, peinture de finition Nous y sommes. Vous avez pris soin de décaper votre carrosserie ou votre pièce qui est maintenant complètement saine. Comme beaucoup, vous vous demandez comment la protéger au mieux de la corrosion pour ne plus avoir à refaire ce travail durant les 30 prochaines années j’exagère à peine !. Voici donc une des solutions les plus efficaces. Il s’agit du principe de base qui est très souvent utilisé pour protéger et peindre la carrosserie. Mais il peut s’appliquer pour toutes les autres parties ou pièces de votre ancienne pour les protéger de la corrosion. Attention, je le répète, cette technique nécessite une préparation parfaite du métal qui doit être exempt de rouille à 100% ! Première couche le primaire antirouille. Ce sont des primaires monocomposant très fine couche que l’on applique directement sur le métal qui isolent le métal de l’eau, l’air etc. Ils ne doivent être appliqués que sur une tôle parfaitement saine et exempte de rouille. Ces primaires ne sont pas des anti-rouilles dans le sens où ils ne vont pas bloquer la rouille lorsqu’elle est déjà présente ; en revanche, ils sont extrêmement efficaces pour prévenir l’apparition de la rouille lorsque le métal est sain en l’isolant parfaitement. On peut d’ailleurs mesurer leur protection à la corrosion grâce au test de résistance au brouillard salin exprimé en heures. Ces primaires forment également un support idéal permettant un excellent accrochage des futures couches bi-composant qui viendront en recouvrement. J’applique en première couche sur l’intérieur de la carrosserie un primaire phosphatant sa couleur vert/marron est caractéristique, qui isole parfaitement le métal. La couche doit être extrêmement fine. Il en existe plusieurs types, le primaire phosphatant et le primaire époxy étant les plus performants et les plus utilisés. Deuxième couche l’apprêt garnissant. L’apprêt garnissant est surtout utilisé en carrosserie. Il s’agit d’une peinture appliquée en couche épaisse qui permet de garnir et de recouvrir parfaitement la surface. C’est généralement une peinture 2K qui doit permettre un ponçage facile. En effet, de part sa couche épaisse, l’apprêt garnissant doit obligatoirement être poncée juste avant l’application de la finition. Le résultat après application d’un apprêt garnissant. Il est généralement mate, très facilement ponçable, et sa couleur doit être proche de la couleur de finition finale un peu plus claire. Si l’application d’un apprêt garnissant est obligatoire en carrosserie pour obtenir une surface parfaite, ce n’est pas toujours indispensable pour des pièces mécaniques ou des pièces non visibles qui ne nécessitent pas une finition optimale. Néanmoins l’apprêt garnissant joue 3 rôles protéger le primaire anticorrosion. En effet, si ce dernier présente une excellente accroche sur le métal et représente le meilleur isolant, il n’est pas très résistant aux agressions extérieures faible résistance aux accrocs, aux produits chimiques etc et ne résisterait pas longtemps sans être recouvert. L’utilisation d’un apprêt garnissant bi-composant en seconde couche est donc important d’une part pour sa résistance dans le temps et d’autre part car de nombreux primaires antirouille utilisés en première couche ne sont pas compatibles avec certaines peintures monocomposant qui viendraient en seconde les imperfections de la surface. C’est le rôle principal du garnissant il permet de masquer les dernières imperfections de la surface mastic, petites rayures, pores.Faciliter l’application et l’accroche de la couche de finition. Entre la 2ème et la 3ème couche réalisation de joints au mastic polyuréthane PU Cette étape consiste à réaliser un joint d’étanchéité au niveau de toutes les tôles qui sont superposées exemple baie de parebrise, bas de portes, planchers sur châssis etc. Généralement, ce travail de jointage n’est pas ou très peu fait d’origine sur nos voitures. Résultat, l’eau s’infiltre dans l’interstice entre les 2 tôles et la corrosion finit par s’y installer et ronger l’acier prématurément. Lorsque tout est décapé et traité anticorrosion, la réalisation d’un joint PU permet de garantir l’étanchéité de l’assemblage des 2 tôles et éviter ainsi que de l’eau ne s’y infiltre. Jointage de toutes les tôles du châssis je fais idem pour la carrosserie de la 4L entre la couche d’apprêt et la finition. Ici, il s’agit de joint auto-marine, mais du joint polyuréthane classique est parfait pour ce type d’utilisation. Le polyuréthane est idéal puisqu’il est facile à appliquer, souple, et tient très bien dans le temps. De plus, il peut-être peint sans problème, c’est pourquoi il est préférable de l’appliquer avant la peinture de finition afin qu’on le voit le moins possible lorsque le travail est fini. 3ème couche la peinture de finition Son rôle, en plus d’être esthétique, et d’être particulièrement résistante aux agressions extérieures UV, rayures, produits chimiques… En effet c’est bien la peinture de finition qui est en première ligne, elle se doit d’être robuste. Pour garantir une durée de vie importante, il est très fortement recommandé d’appliquer une peinture 2K en finition. En effet, la peinture bicomposant présente une résistance bien supérieure aux peintures monocomposant et aux peintures en aérosol par exemple. Pour finir, j’applique une peinture 2K blanc brillant pour la finition. Le cas d’une peinture de finition en carrosserie Pour repeindre une carrosserie, il y a plusieurs possibilités pour la peinture de finition soit on applique une peinture en bicouche base + vernis dans ce cas c’est le vernis bicomposant qui apporte la brillance à la peinture et qui joue le rôle de protection. C’est le système le plus commun utilisé par les professionnels. Pour les peintures métallisées, c’est d’ailleurs l’unique solution les peintures métallisées brillant direct sont impossibles à réaliser.soit on applique une peinture dite “brillant direct” il s’agit généralement de peinture polyuréthane bicomposante qui ne nécessitent pas de vernis elles sont déjà brillantes et résistantes aux agressions extérieures. J’ai pu tester les deux systèmes, je peux donc vous en faire quelques retours attention, je ne suis pas carrossier de métier. J’ai d’abord utilisé une peinture bicomposant brillant direct pour repeindre une 4L et je dois dire que j’en suis assez satisfait. On obtient de bons résultats sans trop de difficultés si vous avez les bonnes conditions et du bon matériel même pour un amateur. La peinture est très brillante et résiste très bien aux rayures. De plus, c’est la peinture la plus économique à mon sens. Petit bémol elle résiste moins bien aux UV qu’une peinture avec vernis. La 4L a été peinte en blanc et elle a tendance à très légèrement jaunir, au bout de 5 ans. Un polissage complet est donc nécessaire au bout de quelques années pour redonner le brillant à la peinture. Le cas de la peinture métallisée Pour une seconde 4L que j’ai repeint, je n’ai pas eu le choix car la teinte était métallisée dans ce cas on n’a d’autres choix que de prendre une peinture bicouche avec vernis. Cela donne au final une peinture extrêmement résistante mais pour moi, cela demande une certaine expérience le vernis n’est vraiment pas facile à appliquer lorsqu’on n’est pas carrossier. En effet, le vernis étant transparent, on ne voit vraiment pas ce que l’on fait cela demande un excellent éclairage et une certaine expérience pour ne pas se retrouver avec des coulures ou au contraire une “peau d’orange”. Cas N°2 le métal est corrodé Si le métal n’est pas sain à 100% et qu’il reste des zones corrodées que vous n’arrivez pas à retirer, vous ne pouvez pas utiliser un primaire de type phosphatant ni même époxy. En effet, ces derniers ne sont faits que pour être utilisé sur un métal neuf ou sain et ne résisteraient pas bien longtemps dans le cas contraire. Vous devez donc utiliser un convertisseur de rouille ou primaire direct sur rouille comme première couche comme vu précédemment pour stabiliser et stopper la rouille. Ensuite seulement, vous pourrez appliquer les 2ème et 3ème couche respectivement apprêt garnissant et peinture de finition exactement comme nous venons de le voir ci-dessus. Attention tout de même de bien contrôler si votre convertisseur de rouille ou primaire est compatible avec la peinture qui va venir la recouvrir ! De nombreux convertisseurs connaissent en effet des problèmes de compatibilité avec les peintures qui viennent en recouvrement. Par exemple, le Rustol Owatrol un des meilleurs antirouille du marché n’est pas compatible avec les peintures acryliques, bicomposantes ou à séchage rapide ce n’est donc pas adapté pour de la peinture de carrosserie. Dans ce cas, il vaudra mieux utiliser en première couche le fameux primaire Rustol CIP qui lui est compatible avec tous les systèmes de peinture qui viendront en recouvrement. Cas N°3 protéger les zones inaccessibles et corps creux Certaines zones inaccessibles et pourtant très exposées à la corrosion vont également devoir être traitées intérieur de portes, intérieur de longerons du châssis, montants de baies, intérieur de bras de suspension… Ces endroits sont difficiles à atteindre que ce soit pour les décaper ou pour les traiter avec un pinceau, une bombe de peinture ou même un pistolet. Dans ce cas, on doit appliquer ce qu’on appelle une cire à corps creux. Cette dernière se présente sous la forme d’une cire semi-liquide, vendue sous forme de cartouche à appliquer au pistolet avec un long tube permettant d’aller traiter les zones les plus inaccessibles. Encore une fois, toutes les cires ne se valent pas. Les cires à corps creux de bonne qualité permettent à la fois de protéger le métal du développement de la corrosion mais aussi de bloquer la corrosion présente en l’état. Certaines cires protègent certes mais ne sont pas composées d’agents anti-corrosion permettant de bloquer la propagation de la rouille existante. Vérifiez donc bien ce que vous achetez. Généralement, les cires pour corps creux s’appliquent à l’aide d’un pistolet dont la buse est rallongée par un tube souple. Elles peuvent être aussi proposées en aérosol. Je n’en avais pas à l’époque et j’ai donc utiliser un pulvérisateur avec un long tube pour traiter les corps creux du châssis. En revanche, n’utilisez surtout pas cette cire pour autre chose que les corps creux elle ne sèche pas, reste toujours collante, elleest donc inadaptée pour les zones visibles ou accessibles. Cas N°4 la protection du châssis et des passages de roue Les contraintes Ici, on pour la protection antirouille et la peinture, on peut se référer aux paragraphes 1 et 2, la technique et la même. Seulement, pour le châssis, les planchers extérieurs et les passages de roues, on a 2 contraintes supplémentaires Ces zones sont fortement soumises aux projections de gravillons, pierres etc à terme, cela finit par endommager les couches de peinture successives et le métal se retrouve mis à nu. C’est la corrosion assurée ! De plus, les projections sur les tôles font un bruit désagréables qui peut-être lassant lorsqu’on pratique régulièrement des chemins ou des le châssis et les passages de roue sont les premières victimes du sel de déneigement que l’on trouve sur les routes. On le sait, le sel est particulièrement nocif pour nos anciennes et pour toutes les voitures en général il détruit les peintures et attaque l’acier en un rien de temps. S’il est indispensable de bien rincer sa voiture après avoir pratiqué une route salée, il vaut mieux anticiper et essayer de protéger les zones touchées en amont. Les solutions Pour faire face à ces 2 contraintes, il convient d’appliquer un anti-gravillon – insonorisant aussi appelé abusivement “Blackson” en référence à la marque en couche finale. Il s’agit d’une pâte bitumeuse, que l’on applique en couche épaisse et qui vient jouer un double rôle protéger les soubassements de la voiture des projections et ainsi protéger la peinture se trouvant en dessous et l’insonoriser. L’anti-gravillon permet aussi de faire barrière au sel pour éviter qu’il ne soit en contact direct avec la peinture. Il peut être vendu soit en pot à appliquer au pinceau, soit en cartouche à appliquer par pistolage sous pression nécessite un pistolet spécifique adapté. Après décapage du châssis, j’applique dans un premier temps un primaire antirouille universel, auquel j’ai ajouté un peu de Rustol Owatrol qui renforce la protection anticorrosion tout en jouant le rôle de diluant la peinture tire mieux et est plus facile à appliquer. Voilà le résultat, après deux couches de primaire anticorrosion. C’est propre non ?! J’applique ensuite une peinture de finition, qui soit suffisamment résistante aux agressions extérieures chimiques et physiques. Cette peinture n’a en revanche pas besoin d’avoir des propriétés anticorrosion puisqu’elle n’est pas en contact direct avec la tôle acier. Enfin, j’applique le fameux anti-gravillon ou blackson sur le dessous du châssis, ici au pinceau. Le résultat est moins esthétique et uniforme que par pistolage, mais à l’époque je n’étais pas équipé pour. Il ne faut pas hésiter à mettre plusieurs couches, fines, pour que l’anti-gravillon / insonorisant fasse effet, tout en évitant de créer des pores dans lesquelles l’eau pourrait s’infiltrer. Pourquoi certains redoutent et ne recommandent pas l’anti-gravillon ou blackson ? Il y a plusieurs raisons. Si l’anti-gravillon a parfois mauvaise réputation, c’est d’abord parce qu’il est souvent utilisé à mauvais escient, notamment pour masquer une mauvaise réparation ou de la corrosion. Certains le rendent également responsable de la corrosion prématurée des châssis, puisque l’anti-gravillon favoriserait l’emprisonnement de l’humidité et donc la formation de rouille. Ces arguments ne sont pas tout à fait faux, ni tout à fait vrai. Cela dépend en fait du produit que vous utilisez, de la préparation en amont et de la manière dont vous l’appliquez. Comment bien appliquer l’anti-gravillon ? D’abord, avant toute application d’un anti-gravillon quel qu’il soit, il faut que le support ait été parfaitement traité et protégé contre la corrosion ! Contrairement à ce que certains pensent, l’anti-gravillon n’est en aucun cas un produit anti-corrosion et ne doit jamais être appliqué sur de l’acier nu non protégé. Ensuite, il faut choisir un anti-gravillon de qualité, c’est à dire un anti-gravillon non poreux, et qui reste souple après séchage. Cela permettra d’éviter le phénomène d’emprisonnement de l’humidité que l’on peut avoir avec les mauvais insonorisants et qui est responsable du développement de la corrosion. En utilisant le bon produit sur une surface parfaitement traitée, l’anti-gravillon jouera parfaitement son rôle de protection sans avoir d’effet néfaste. Le seul défaut qu’il pourrait avoir est lorsque les planchers ou les passages de roues subissent une déformation choc, accident. L’insonorisant risquerait alors de se craquer et à ce moment-là d’emprisonner plus facilement l’humidité. Il conviendra donc dans ce cas particulier de le retirer après avoir redressé la tôle, pour refaire un traitement anti-corrosion complet et une couche d’anti-gravillon. Cas N°5 la protection du bloc moteur / pièces moteur Ce n’est pas parce que cela n’est pas visible par tous qu’il ne faut pas protéger et peindre son moteur et ses pièces moteur ! 🙂 Personnellement, je suis adepte d’un compartiment moteur soigné, c’est tout aussi important pour moi qu’une belle carrosserie ! Protection des blocs moteur en acier / fonte J’avais déjà évoqué le sujet lors de la restauration du moteur de ma 4L. Après un bon nettoyage / dégraissage / brossage, pour moi l’idéal est d’appliquer En première couche Je conseille le primaire antirouille Rustol CIP encore lui !, qui présente tous les avantages pour cette application Peut être appliqué sur une surface légèrement corrodée ce qui permet de simplement brosser le bloc en fonte et protège efficacement et durablement le bloc moteurRésiste à une température de 175°C, ce qui est suffisant pour le bloc compatible avec toutes les peintures qui pourront venir en recouvrement. J’applique au pinceau une couche de Rustol CIP pour protéger la fonte de ce bloc moteur Cléon de R5. En couche de finition Il nous faut une peinture un peu spécifique, puisqu’en plus de devoir résister à une température assez élevée, elle doit pouvoir résister aux huiles, carburants, liquide de refroidissement qui pourraient couler dessus. Exceptionnellement, j’utilise une peinture en aérosol pour cette application, une peinture spéciale moteur qui répond à toutes ces contraintes. On peut également trouver ces peintures en pot, à appliquer au pinceau ou pistolet, pour une résistance supérieure. On peut maintenant trouver ces peintures moteur dans toutes les teintes, vous pourrez donc trouver celle d’origine correspondant à votre moteur. J’ai utilisé cette combinaison Rustol CIP + peinture aérosol spécifique pour moteur pour la restauration de plusieurs blocs et quelques années plus tard, j’en suis satisfait, rien n’a bougé. En revanche, je déconseille fortement d’appliquer directement une peinture aérosol sur un bloc moteur sans apprêt anticorrosion, cela risque de ne pas tenir bien longtemps. Si vous souhaitez faire cela, mieux vaut utiliser une peinture anticorrosion à appliquer au pinceau ou au pistolet, de type Restom MotorPeint PMV 3030. La peinture de finition noire spéciale moteur, appliquée sur notre bloc moteur, après la couche de Rustol CIP. Protection des pièces du compartiment moteur Pour les pièces du compartiment moteur en acier platines, démarreur, supports moteur, boîtes à air, caches etc qui ne subissent pas des températures trop importantes moins de 200°C, il ne faut pas trop se prendre la tête. Le mieux est d’utiliser la même peinture que pour le bloc moteur, résistante à des températures assez élevées et aux hydrocarbures. Si vous n’arrivez pas à obtenir des pièces saines à 100% après décapage, utilisez un apprêt type CIP. Sinon, vous pouvez peindre directement la pièce avec la peinture spécifique moteur. La peinture en aérosol spécifique pour bloc moteur haute température s’adapte parfaitement aux pièces annexes du compartiment moteur. Ici, la boîte air que nous avons poncé puis traité préalablement au Rustol CIP. Cas N°6 la protection intérieure du bloc moteur Et oui, l’intérieur des blocs moteur, ça se protège aussi ! En particulier le circuit du liquide de refroidissement à l’intérieur du bloc qui, avec les kilomètres, se retrouve souvent endommagé… Résultat, cela forme des dépôts métalliques dans le circuit et cela finit par transformer le liquide de refroidissement en boue, empêchant sa bonne circulation et donc le bon refroidissement du moteur. Pour éviter cela et pallier à la porosité des chemises et des parois intérieures du bloc moteur, il existe une peinture époxy s’appliquant au pinceau pour recouvrir et protéger l’intérieur du moteur la Restom Blocmoteur 8890. Elle est résistante au liquide de refroidissement bouillant, aux antigels, à l’huile jusqu’à 170°C et elle permet d’assurer une protection anticorrosion totale même en immersion. Ce n’est pas une opération obligatoire mais si vous démontez entièrement votre moteur, c’est vraiment l’occasion de protéger l’intérieur afin de protéger vos chemises et votre bloc et ainsi augmenter leur durabilité. Source Restom. Cas N°7 la protection du collecteur et tubulures d’échappement L’ensemble de la ligne d’échappement est très exposée à la corrosion. Et pour cause, elle est constamment exposée à de très hautes températures plusieurs centaines de degrés au niveau des collecteurs, une chaleur qui favorise l’apparition de la rouille. L’intérêt de la protection de la tubulure d’échappement et du collecteur est avant tout esthétique, car il y a peu de chance que la corrosion vienne endommager en profondeur l’acier de votre échappement. Mais si, comme moi, vous aimez avoir un compartiment moteur digne d’une voiture neuve, sachez qu’il existe des peinture spécifiques très haute température pour redonner une seconde vie à votre collecteur ou vos tubes d’échappement. Le collecteur d’un moteur de R5, repeint à neuf après sablage avec une peinture spécifique pour échappement. Le résultat est super, mais l’application ayant été faites à l’aérosol, la durée de vie risque de ne pas être excellente. Privilégier une peinture en pot. Concernant la couleur, évitez le noir, elle absorbe trop la chaleur et ne résisterait pas bien longtemps. La tenue de ces peintures dans le temps dépend de la préparation du support il convient de sabler le collecteur avant toute application un décapage par brossage ne suffira pas sinon la rouille refera son apparition très rapidement. Ces peintures demandent également un processus de cuisson particulier avant d’être complètement sèches et d’assurer leur fonction de protection, référez vous bien à la notice de chaque peinture. Cas N°8 la protection du réservoir d’essence Une éventuelle corrosion à l’intérieur du réservoir d’essence n’est pas à prendre à la légère, puisqu’elle pourrait endommager indirectement votre moteur. En effet, lorsque votre réservoir n’est pas plein d’essence, de la condensation se forme à l’intérieur, favorisant la corrosion de la surface interne. En contact avec le carburant, la corrosion forme des dépôts qui peuvent venir boucher les durites, filtres et cuves des carburateurs, détériorer la qualité de l’essence, et donc nuire à la bonne carburation du moteur. Pour éviter cela, il existe sur le marché des kits de traitement de réservoir, proposant un traitement en 3 phases dégraissage, décapage chimique de la corrosion, puis traitement anti-corrosion à l’aide d’une résine. L’entreprise Restom s’est fait une spécialité dans ce traitement de réservoir, et jouit d’une telle renommée qu’on parle dans le milieu de “restomisation” du réservoir. Cas N°9 la protection avant et après soudure par points La soudure par points est une technique très plébiscitée en carrosserie automobile, qui consistent à assembler deux tôles à l’aide de points de soudures espacés, et non d’un cordon continu. Pour protéger la tôle avant la soudure, on utilise principalement deux types de produits du zinc galvanisation à froid, ou du cuivre, tout deux vendus en aérosol. L’intérêt de ces sprays réside dans leur résistance à des températures très élevées +1100°C pour le cuivre, des températures bien trop importantes pour les peintures. Les tôles sont ainsi protégées contre l’oxydation et peuvent être assemblées en soudage par points sans que la protection ne soit altérée. Cas N°10 la protection de la visserie et des petites pièces La visserie nécessite une protection particulière. En effet, sa surface étant soumise à des frottements importants, on ne peut la protéger avec des traitements habituels tels que les apprêts, peintures, résines etc puisque la surcouche de protection s’enlèverait au premier vissage. La seule solution est l’électro-zingage, qui permet de déposer une très fine couche de zinc qui adhère parfaitement sur l’acier de la visserie. Cette technique, assez complexe, est généralement réalisée par des professionnels. Avec un peu de patience, on peut néanmoins réaliser un électro-zingage chez soi pour des petites séries de pièces. J’ai traité quelques dizaines de vis et pièces avec mon propre bain d’électro-zingage, c’est assez ludique et intéressant, mais il faut multiplier les essais et s’armer de patience pour trouver la bonne technique et obtenir de très bons résultats. Restom encore eux ! proposent d’ailleurs depuis peu un kit complet cher à mon goût pour réaliser son propre électro-zingage. Vous pouvez également consulter l’excellent tuto du site La 4L de Sylvie sur lequel je me suis appuyé pour débuter dans cette technique. Quelques illustrations d’électro-zingage maison J’ai réalise un électro-zingage maison de petites pièces d’alternateur. Je suis arrivé à un résultat plutôt convaincant, mais ça demande un peu de pratique et de patience pour arriver à une telle finition. Un autre exemple d’électro-zingage maison, avec ici les composants du galet tendeur de courroie dont nous avons vu le décapage chimique en première partie. Pas mal non ? L’application de graisse cuivrée comme rempart anti-corrosion Pour améliorer la protection de vos vis lorsqu’elles sont soumises à des contraintes sévères contact régulier avec l’eau, chaleur, pensez à badigeonner les filets de graisse cuivre ! Cela permettra de retarder considérablement l’apparition de la corrosion et de faciliter les démontages futurs ! Ex bougies, vis de brides d’échappement, vis de pompe à eau… J’ai pour habitude d’appliquer un peu de pâte cuivrée ou grasse cuivre sur les filets des bougies cela permet d’éviter l’oxydation lorsqu’elles sont vissées dans la culasse, faciliter les déposes futures en évitant de foirer le pas de vis fragile de la culasse. Je fais de même pour toutes les vis présentes dans des environnements particulièrement corrosifs ici, les vis qui fixent la pompe à eau sur la culasse. IV°/ QUELQUES CONSEILS POUR PRÉVENIR L’APPARITION DE LA ROUILLE Vous voilà désormais armés de conseils pour protéger au mieux toutes les parties de votre voiture ancienne préférée. Malgré toute votre bonne volonté, il est possible que la corrosion refasse tout de même son apparition au bout de quelques temps, si les conditions sont propices au développement de la corrosion. Voici donc quelques recommandations pour retarder au maximum l’apparition de la rouille Fuir le sel de déneigement Le sel de déneigement est l’ennemi juré de nos voitures. De mon côté, j’ai la “chance” d’habiter dans une région où la neige et le verglas se font assez rares, les routes ne sont donc que rarement salées. Mais dans les régions où il fait plus froid et en montagne, le salement des routes est une pratique courante voire quotidienne. Le sel ainsi déposé sur la route se retrouve sur votre châssis et votre carrosserie et attaque les peintures et le métal bien plus vite qu’on ne le croit. La meilleure chose à faire est de rincer votre voiture et en particulier les soubassements à l’eau claire après toute exposition aux sels de déneigement. De même, je vous conseille d’éviter de garer votre ancienne de manière prolongée en bord de mer… les embruns salés font très vite des dégâts ! Contrôler les infiltrations d’eau et éviter l’eau stagnante Si vous possédez une voiture ancienne, vous le savez aussi bien que moi à l’époque, l’étanchéité était loin d’être la priorité des concepteurs de nos voitures ! Et ils en étaient bien conscients pour la petite anecdote, Renault avait rédigé à l’époque toute une note pour son réseau de garages, dans laquelle le constructeur listait l’ensemble des zones d’infiltration d’eau possibles dans la 4L, soit plus d’une dizaine ! Au final, quand il pleut, l’eau s’infiltre dans la voiture et le plancher se transforme en une immense bassine de l’eau stagnante, des conditions idéales pour l’apparition de la corrosion. Pensez-donc à vérifier régulièrement que votre plancher n’est pas humide et tentez de déceler les zones d’infiltration d’eau. Ne pas stocker sa voiture sous un arbre Ce conseil, c’est le fruit de mon expérience personnelle. J’ai eu le malheur de stocker mon Austin Mini, non bâchée, sous un amandier pendant plus d’un an. Résultat, la sève a coulé sur la carrosserie et a attaqué la peinture en profondeur, laissant le métal à nu. La rouille n’en demandait pas tant pour s’y installer ! Morale de l’histoire couper l’arbre. Ou mieux, ne pas couper l’arbre mais ne pas stationner sa voiture en dessous. Ou mieux encore, ne pas couper l’arbre, stationner sa voiture en dessous mais y mettre une bâche de protection. Bref. C’est vous qui voyez. 😉 N’hésitez pas à nous poser toutes vos questions et ou à partager vos expériences sur le sujet en commentaires en bas de la page, j’y réponds très rapidement ! 😉 Vous pouvez aussi me retrouver sur Facebook Sortie de Grange et sur Instagram sortiedegrange.
Pourcommencer à enlever des autocollants sur une porte, il faut les chauffer au moyen d’un sèche cheveux ce qui a pour effet de dissoudre la colle et ensuite on peut commencer à gratter avec une spatule car il est possible qu’une fois ramollis les autocollants se décollent facilement. Si ce n’est pas le cas, il faut imbiber les
L’autocollant peut servir à de nombreuses fins pour décorer, pour cacher un défaut, pour personnaliser sa voiture, pour lui donner un coup de neuf, etc. En quelques minutes, il est possible de poser un sticker sur sa carrosserie. Mais pour l’enlever, que faire ? Qu’est-ce qu’un adhésif pour voiture ? Un autocollant ou sticker pour voiture est un adhésif prêt à poser sur un véhicule ou une moto sur les fenêtres, sur le capot, sur le parebrise, sur l’aileron, sur la carrosserie… Grâce à cette solution de décoration, vous pourrez changer le look de votre voiture au gré de vos envies, lui donner l’air d’une voiture de course, camoufler quelques imperfections, lui faire véhiculer un message publicitaire, etc. D’ailleurs, on peut trouver sur le marché différents modèles d’adhésif pour voiture tels que les badges, les liserés, les bandes larges, les bandes pare-soleil, les stickers en planches et les stickers en rouleau. Donc, sélectionnez en fonction du style recherché et de votre goût. Attention ! Veillez à bien choisir un autocollant adapté à vos besoins et un emplacement correct, car c’est vrai que la pose est facile. Mais pour enlever des adhésifs de carrosserie, c’est une autre histoire. Comment décoller un adhésif de carrosserie ? Vous voulez changer d’autocollant ? Vous pouvez l’enlever et chercher un autre style si tel est votre désir. Cependant, armez-vous de patience, car c’est une action qui requiert de la minutie et de la précision. Pour enlever des adhésifs de carrosserie sans laisser de trace, voici quelques astuces chauffez légèrement l’autocollant à l’aide d’un sèche-cheveux ou d’un décapeur thermique enlevez un coin de l’autocollant et tirez délicatement petit à petit. Si vous avez des difficultés, prenez une raclette S’il reste des résidus, utilisez un diluant nettoyant et un chiffon pour les enlever et séchez. Maintenant, vous pouvez poser un autre sticker !!! Attention ! Évitez les produits agressifs comme le dissolvant ou l’essence. Ils risqueront d’abimer la peinture de votre voiture. Petits conseils ! Lorsque vous aurez terminé d’enlever des adhésifs de carrosserie, ne frottez pas trop fort au moment du nettoyage. Vous pourrez enlever le vernis ou rayer la peinture. Et pour un résultat optimal, rincez à l’eau froide. Par ailleurs, au moment de l’achat des adhésifs, choisissez des modèles spécialement conçus pour les voitures. Ils sont plus résistants ! Pour en trouver, rendez-vous dans les magasins spécialisés dans les accessoires pour motos et autos. Sinon, de nombreux sites en ligne revendent également ce genre de produit à prix raisonnable.

Nousvous recommandons de fixer votre badge sur le pare-brise de votre voiture du côté droit du rétroviseur central pour le sécuriser. Si votre voiture est équipée d’une vitre avant d’une voiture avec un point noir, un autre espace, un badge doit y être placé pour être retrouvé. Où placer le badge télépéage sur Peugeot 2008 ?

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comment enlever un vieil autocollant sur une voiture