JEME SENS SI BIEN CHEZ VOUS Comédie de Eric Lourioux Mise en scène : Nath.Khorsand Avec : Nathaniel Khorsand, Olga Shulova, Jane Off, Zack Naranjo, Wendy Grenier Patrice et Valeyre forment un couple solide depuis plusieurs années.
Dans la presse Les Podcasts Impression JE ME SENS SI BIEN CHEZ VOUS Comédie de Eric Lourioux Mise en scène Nath. Khorsand Avec Nathaniel Khorsand, Olga Shulova, Jane Off, Zack Naranjo Patrice et Valeyre forment un couple solide depuis plusieurs années. Lors d'une soirée chez eux, Marcelle, l'ex totalement déprimée de Patrice, fait un malaise et devient amnésique. Entre cette colocataire imposée et l'irruption inopinée de son amoureux transi Fabio, Patrice et Valeyre se retrouvent entraînés dans un tourbillon de folie jusqu'à en faire éclater tous leurs repères. Comme quoi, une invitation peut vite vous faire péter les plombs !! IMPORTANT Merci de prévoir un masque pour vos déplacements au sein de l'établissement. Aucun retard ne sera accepté. Prévoir d'être là une demie-heure, au plus tard, avant le début de la représentation. Les enfants de moins de 4 ans ne seront pas acceptés en salle. Attention Quartier fermé à la circulation le dimanche, privilégier les transports en commun métro Hotel de Ville ou Rambuteau Réservation PMR 0148871584Artistes Nathaniel Khorsand, Eric Lourioux , Zack Naranjo, Jane Off, Olga Shulova, Réserver LE GUICHET MONTPARNASSE Écrire une critique Seuls les utilisateurs identifiés peuvent laisser un avis
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Sommaire Pourquoi est-ce que je pleure tout le temps ?Témoignage et analyseLarmes nécessaires ou pathologiques ?Peut-on pleurer sans arrêt et aller bien ?Comment arrêter de pleurer pour rien ?😢 Les larmes ont une signification profonde stress, colère, tristesse, etc. Mais que révèlent ces larmes à répétition ? Hypersensibilité ? Mauvaise gestion des émotions ? Dépression ? Est-ce si grave d'avoir les larmes qui montent aux yeux à la moindre occasion ? Pleurer souvent, voire tous les jours peut être difficile à vivre. Pleurer au travail ou en public, peut par exemple être mortifiant, honteux, et les larmes deviennent alors vite un handicap. Comment gérer quand les larmes prennent le contrôle ? Pourquoi est-ce que je pleure tout le temps ?Pleurer est ce qui nous rend humains, dès lors, même si la fréquence de nos pleurs est importante, pourquoi vouloir arrêter ? La question n'est pas tant d'arrêter de pleurer que de comprendre d'où vient ce comportement. 🧠 Est-ce que je pleure parce que je suis émotifve ? Est-ce que je suis en période de stress ? Ou est-ce que c'est l'un des premiers symptômes d'une dépression. Car rappelons-le, pleurer souvent, sans raison est parfois le signe avant-coureur d'une & analyse Élise nous raconte sa dernière crise de larmes.📰 Un soir, je regarde les informations. Tout à coup, le journaliste parle de l'agression d'un couple homosexuel. Plus il raconte la scène et les larmes me montent aux yeux, jusqu'à ce que je ne puisse plus les empêcher de couler. Je me sens un peu bête, surtout que mon compagnon me jette un regard dubitatif, depuis l'autre bout du canapé.»"Si j'y réfléchis, je pense que je suis tout simplement empathique. Sauf que ça ne s'arrête pas là. J'ai déjà plusieurs fois pleuré au travail, devant mon boss et mes collègues. Dans des périodes de stress intense, la moindre critique me fait craquer. Et si je me retiens, il suffit que je monte dans ma voiture ou que je ferme la porte de chez moi pour que les larmes accumulées durant la journée se mettent à jaillir, sans que je ne puisse rien y faire. »👉 Le témoignage d'Elise est intéressant parce qu'il met en parallèle deux causes L'une assez courante, la pression, le stress, la fatigue, et donc des pleurs qui permettent de relâcher cette pression accumulée, même si ce n'est pas un moment opportun. Elle évoque aussi l'empathie. L'empathie, bien qu'elle soit souvent réelle est aussi un reflet de nos angoisses et de nos peurs. Élise craint de subir une agression injustifiée et de vivre dans une société où l'agressivité est bien présente. Cette situation rappelle celle d'une autre femme qui s'inquiétait de pleurer devant des publicités. Elle évoquait la musique triste, mais parlait aussi d'une publicité qui mettait en scène un homme ayant perdu sa femme. Pleurer face à ce genre de scène tiendrait donc plus de la peur de la mort de nos proches que de l'empathie. 📌Cependant si l'angoisse nous fait pleurer plus que de raison, c'est peut-être parce qu'il se cache sous ces larmes une cause plus profonde, comme une déprime ou une nécessaires ou larmes pathologiques comment les différencier ?Quand la fréquence des larmes commence à devenir très régulière, elle peut devenir handicapante.📰 Je pleure presque tous les jours. Dès que l'on regarde un film ou une série, je suis sûre que mes larmes vont finir par couler. Si je rate un plat c'est pareil. Et alors, dès qu'un collègue, une amie ou mon compagnon me fait une réflexion, on ne m'arrête plus. Ce dernier commence d'ailleurs à se poser beaucoup de questions, il pense que c'est sa faute et ça l'énerve un peu que je pleure autant, mais j'ai énormément de mal à me retenir. »Ici Joane décrit une situation dans laquelle pleurer devient vraiment handicapant pour elle et peut même nuire au bon fonctionnement de son couple et de ses relations. C'est pourquoi, les personnes qui pleurent souvent doivent se poser une question quand je pleure, est-ce que je me sens vraiment triste, un peu comme si je venais de perdre un proche ou est-ce que je me sens plutôt déprimée ? Les larmes ont toujours une raison d'être. Si vous avez du mal à identifier cette raison et à faire du tri dans vos émotions, vous pouvez les coucher par écrit.🖋️ Écrivez ce qui vous fait pleurer, vous parviendrez ainsi à mieux comprendre s'il s'agit d'une déprime passagère ou si vous avez besoin de relâcher la pression, d'évacuer le stress ou la tristesse. Si cette phase d'écriture ne vous permet pas de faire totalement le point et que votre tristesse perdure, c'est peut-être qu'il s'agit alors d'une déprime plus profonde ou d'une dépression et dans ce cas, il faudra consulter un psychologue pour vous aider.🎬 Découvrez l'analyse de Jean Doridot, docteur en psychologie en vidéo Peut-on pleurer sans arrêt et aller bien ?Si pleurer peut-être un signal d'alarme, pleurer fait aussi du bien. Notre société a tendance à culpabiliser, voire à ne pas prendre au sérieux les personnes qui pleurent souvent, les hypersensibles. Pourtant, pleurer, c'est communiquer ses émotions à l'autre, c'est s'autoriser à ressentir et à chasser des émotions négatives. Enfin, pleurer permet d'accéder à un lâcher-prise qui aide à se connecter à ses émotions, à les apprivoiser et enfin à les maîtriser. Le problème, c'est que même si nous sommes convaincus des bienfaits des larmes, les pleurnicheurs sont souvent vus comme des manipulateurs. 👉 Une anthropologue constate même qu'en communication, lorsqu'une personne pleure, les règles ne sont plus équitables et les réactions changent. Empathie au lieu de la colère ou au contraire, agacement au lieu de la arrêter de pleurer pour rien ?Alicia raconte le jour où elle a cessé de se laisser contrôler par ses émotions et plus précisément par ses pleurs.📰 Le jour de l'anniversaire de ma mère j'ai passé des heures à lui préparer un gâteau. Je me suis lancée dans un travail monumental où des couches de crème, surmontaient des couches de biscuits, bref, j'y ai passé plus de 5 heures. J'étais épuisée mais fière et j'avais hâte de découvrir la tête de ma mère. 20 h arrive, je me prépare et place délicatement le gâteau dans une boîte pour le transport. Pendant le trajet en voiture, une personne sort de nulle part et traverse en dehors du passage piéton. J'enfonce la pédale de frein et la boîte qui contenait le gâteau se renverse. Je suis bouleversée, je crie contre cet imprudent, je sens déjà que les larmes me montent aux yeux et puis je décide que ça n'en vaut pas la peine. Je me sens frustrée mais ce n'est pas ma faute. Je fais alors le choix de sourire, au point que j'en ris presque et je passe une musique qui me fait du bien. Ce jour-là, je n'ai pas pleuré, malgré la colère et j'étais quand même bien. »👉 Selon les psychologues, pour contenir ses larmes, il faut sortir de la situation dramatique, prendre du recul, à proprement parler, avec ce qu'il se passe. Impossible de fuir toutes les situations tendues ou désarmantes, mais comme le montre Alicia dans son récit, en adoptant une attitude faciale neutre, détendue ou joyeuse, on peut modifier le message envoyé à notre cerveau et ainsi retenir ses larmes. 🧠 Car si pleurer fait du bien, trop pleurer peut nuire à nos relations et surtout nous empêcher d'exprimer une forte émotion sans avoir recours aux de la rédaction pleurez si ça vous fait du bien !Pour un être humain, même adulte, pleurer est quelque chose de normal et si ça vous fait du bien c'est tant mieux ! Si vous assumez et êtes à l'aise ainsi, ne changez rien. On peut avoir besoin de pleurer souvent et se sentir parfaitement bien, c'est votre façon d'extérioriser. 👉 Ces crises de larmes peuvent être problématiques seulement si elles vous complexent, vous mettent mal à l'aise ou nuisent à vos relations personnelles ou professionnelles. Dans ce cas, il serait bon de vous faire accompagner par un thérapeute. En cas de crise, essayez le plus possible de prendre du recul ou d'éviter les situations qui vous font monter les larmes aux yeux.🤗 Se comprendre, s'accepter, être heureuse... C'est ici et maintenant ! BornToBeMeContacter un psy
4 Des insultes et menaces. La plupart des gens qui veulent s'en sortir disent que leur partenaire a commencé à s’énerver parce qu’il a été contredit et a fini par des insultes et des menaces quand la personne essayait de s’éloigner de lui. Les menaces ne concernaient pas seulement la femme, mais aussi sa famille :
Cette comédie d'Eric Lourioux reprise dans un format élagué la rendant speed, percutante et donc apte à son export éventuel en Avignon off, n'en est pas moins "drôlement culottée" tant par sa thématique "coup fourré sous amnésie préméditée" que par ses implications d'harcèlement X, ses chantages allusifs ainsi que, cerise sur le gâteau, une interprétation fascinante et décoiffante de style "cougar diplomate & classieuse" prête à toutes les opportunités permettant de pressentir l'objectif sous-jacent, à savoir s'installer dans une résidence bourgeoise en incitant les valeureux propriétaires à déguerpir, histoire de profiter de cette villégiature à leur place. Je me sens si bien chez vous © Ricardo Figuiera Cependant en façade, c'est le pragmatisme burlesque qui sera mis à profit pour, de façon empirique, parvenir à ces fins car aucune intention apparente ne semble dicter le comportement de Marcelle fortement perturbée par des cocktails explosifs au point de perdre la mémoire, débarquant, à cour, dans la vie de Patrice un de ses "ex" partageant désormais l'intimité affective de Valeyre son amoureuse, alors qu'un livreur de pizza, tout fou, entrera, lui à jardin, avec de précieuses informations concernant la vie privée récente de Marcelle aux souvenirs ainsi défaillants ou tout au moins sélectifs. Très rationnel, bien qu'ému par ces retrouvailles avec son ancienne maîtresse, mais voulant surtout bien faire, Patrice Nathaniel Khorsand & mise en scène essaiera de remettre d'équerre cette situation périlleuse et ambiguë alors que sa compagne Jane Off ressentira en permanence un trouble instinctif et prémonitoire tout en subissant elle-même les assauts d'un désir libinideux mal assumé. Je me sens si bien chez vous © Ricardo Figuiera Il faut dire que si, de son côté, le coursier Fabio Zack Naranjo peut effectivement inspirer une certaine fascination ostentatoire pour ses proies éventuelles, c'est peu de dire que Marcelle met toute l'assistance en émoi sans que rien ne semble pouvoir arrêter les ravages de séduction qu'Olga Shuvalova se plaît à dispenser avec grâce autour d'elle... en affichant "le grand jeu". Ils ne succombaient pas tous, mais tous étaient frappés !... Puisqu'il s'agit, en l'occurrence, de profiter des faiblesses de ses interlocuteurs, des failles de leur esprit critique et finalement d'abuser du sens de l'hospitalité, l'on se dit que la comédienne trouve ici la pertinence d'un véritable rôle de composition qu’elle joue avec immense talent jusqu'au bout des implications contradictoires... Je me sens si bien chez vous © Ricardo Figuiera D'ailleurs la pièce est très bien construite avec deux mouvements simultanés antagonistes montrant d’une part l’intégration parallèle de Marcelle et Fabio à marche forcée mais fort efficace dans le foyer de Patrice & Valeyre alors que symétriquement ceux-ci s'enfoncent peu à peu dans des complications domestiques et professionnelles de plus en plus ingérables. C'est cette double progression inverse qui génère à la fois le suspens et le comique de situation où chacun des quatre interprètes force le trait de son rôle de façon à rendre caricaturales l'hospitalité et la bienveillance face à la roublardise et l'arnaque de haut vol. Je me sens si bien chez vous © Ricardo Figuiera Mais cela mène néanmoins à un constat plus que troublant à l'épilogue car de fait la malignité triomphe sur toute la ligne et transforme en victimes consentantes le couple d'accueil en fuite vers un exil si possible meilleur pour eux. On l'aura compris, il s'agit d'une parodie poussant allègrement le bouchon de la farce jusqu'à ses extrêmes limites et conséquences transgressives en osant ainsi ne laisser planer aucun doute moral sur la victoire totale des malins sur les naïfs. Je me sens si bien chez vous © Ricardo Figuiera En tout cas, mille bravos aux comédiens qui incarnent leurs partitions respectives avec une conviction totalement confondante... et franchement désopilante. photos 1 à 5 © Ricardo Figuiera photo 6 © JE ME SENS SI BIEN CHEZ VOUS - **.. - de Eric Lourioux - mise en scène Nath Khorsand - avec Nathaniel Khorsand, Olga Shuvalova, Jane Off & Zach Naranjo - Théâtre des Blancs Manteaux Je me sens si bien chez vous ©
Jeme sens si bien chez vous De Eric Lourioux Mise en scène Nathaniel Khorsand Avec Maryon Bertrand , Wendy Grenier , Nathaniel Khorsand , Hugo Le Guen , Gautier Urban , Marie-Blanche Willem Patrice et Valeyre forment un couple solide depuis plusieurs années.
Julio IglesiasQuelque Chose de FranceJe Me Sens Bien Chez VousEt j’ai trouvé ici, un cÅ“ur ouvert à mon accentDes mots sincères, des femmes au sourire envoûtantDans ce pays de liberté, qui est à mon cÅ“ur familierJe ne me suis jamais senti un étrangerEt j’ai trouvé ici des hivers un peu froidsMais la chaleur d’un monde où les liens sont étroitsDe la musique à partager, l’amour du bon vin et je croisL’impression d’être le bienvenu chaque foisJe me sens bien chez vousEt souvent je l’avoueJ’ai du mal à repartir chez moiAu fond, je sais pourquoiJe me sens bien chez vousUn ami, avant toutEt ces bras ouverts à mes chansonsMe disent le temps m’a paru long sans vousJe me sens bien chez vousJe me sens bien chez vous…Je me souviens de ces années passées ensembleDe ces envies, ces émotions qui se ressemblentEt de ces doux regards de femmesQui ont entretenu la flammeComme pour dire, ce qu’on ressent, ne change pasJe me sens bien chez vousEt souvent je l’avoueJ’ai du mal à repartir chez moiAu fond, je sais pourquoiJe me sens bien chez vousUn ami, avant toutEt ces bras ouverts à mes chansonsMe disent le temps m’a paru long sans vousJe me sens bien chez vousJe me sens bien chez vous…Ici je ne vois pas le temps passer, je visJ’apprends tout ce qu’on me ditJe me surprends à y aimer ma vieComme si j’y laissais un peu de moi à chaque fois…Je me sens bien chez vousEt souvent je l’avoueJ’ai du mal à repartir chez moiAu fond, je sais pourquoiJe me sens bien chez vousUn ami, avant toutEt ces bras ouverts à mes chansonsMe disent le temps m’a paru long sans vousJe me sens bien chez vousJe me sens bien chez vous…How to Format LyricsType out all lyrics, even repeating song parts like the chorusLyrics should be broken down into individual linesUse section headers above different song parts like [Verse], [Chorus], italics lyric and bold lyric to distinguish between different vocalists in the same song partIf you don’t understand a lyric, use [?]To learn more, check out our transcription guide or visit our transcribers forum
2506/2016 à 06:01. Bonjour, j'ai 19 ans et je me sens pas chez moi. Tous cela a commencé quand j'avais 16 ans, plusieurs conflits non réglé avec mes parents, passage brutal au monde du travail. J'ai toujours été une fille sage, discrète à l'école, ne causant aucun problème, qui ne fumais et buvait pas. Jusqu'au jour ou les conflits
Bonjour, je vais me nommer sous "X" pour ne pas avoir le recensement de mon prénom/nom sur Google et que certaines personnes puissent connaître ma vie. Alors voilà, je viens demander des conseils, et avoir des explications sur ma vie, car je ne me sens pas très bien et cela depuis tout petit au sein de ma famille. Mais il y a peu vient de se passer un cap assez important par rapport à moi au sein de celle-ci. Bonne chance aux gens qui liront mon pavé qui raconte en gros ma vie depuis mon enfance, mon ressenti, qui ne sera pas vraiment ordonné, et un grand merci à ceux qui me répondront. Bon, voilà, j'ai 16,5 ans, cela peut paraître assez jeune, mais l'âge ne définit pas la maturité. J'ai 2 frères, un des 20 ans avec lequel je m'arrange très très bien, et un autre de 12 où c'est un total contraire, nous sommes venu à un point où je l'ignore suite à toutes les choses qui me fait au quotidien. J'ai toujours mes 2 parents en vie et non-divorcé. Pour faire une vive présentation plus approfondie de ma "vie" privé, au niveau scolaire, je suis quelqu'un qui a toujours eu des notes excellentes, mais qui a un peu régressé tout en ayant toujours des bonnes notes je suis en 1 ère ES.. Je suis assez connu dans mon établissement, et j'ai un groupe de vrai bon potes que je connais depuis ma maternelle avec lesquelleq je sors presque tout les Week-End et Mercredi après-midi, pour me relaxer, jouer au foot... Au niveau de comportement "spirituel", je suis quelqu'un qui s'en fous un peu, j'ai appris à vivre comme ça, je suis très laxiste. Mais voilà, depuis tout petit, je me suis toujours senti dénigré de ma famille, mis à l'écart, et comme seul soutien mon mental je vais expliquer tout d'abord mon "enfance" puis la partie après mes 13-14 ans.. Quand j'étais petit, presque tous les soirs, j'étais puni notre punition était de mettre notre pyjama très tôt, ça peut paraître anodin mais pour nous, c'était comme une punition suprême, la honte, on éprouvait une grande honte. et j'avais pour ordre de rester dans ma chambre, et j'avais le droit de descendre pour manger, un peu regarder la télé après puis je devais me coucher. La principale cause de mes punitions mon petit frère. En effet, mes frères ont toujours était en sorte favoriser A savoir que je n'éprouve aucune jalousie, je m'en fous à vrai dire j'en ai pris une habitude. depuis ma jeunesse, mais mon petit frère n'a vraiment rien a envier. En effet, il venait m'insulter, me taper, me faisait plein de coup en douce, pour qu'à chaque dérapage Du style répondre à ses insultes par une insulte ... pour aller le dire à ma mère, qui me punissait sans raison de ce fait. Et cela se passait 5/6 soirs sur 7. Ma mère pendant mon enfance ne m'aimait pas, et non ce n'est pas une blague, elle me l'a même dit en face, yeux dans les yeux, il y a quelques mois pendant un repas. grosse, grosse ambiance. Elle croyait tout ce que mes frères disaient, et me punissait /"taper" des coups de martinets, des claques.... Petite anecdocte fun, dans un Leclerc vers mes 8 ans, elle m'a donné une claque me faisant signer du nez, cette anecdote fait rire ma famille, mais moi pas vraiment, mais je ne fais style de rien. Mon père, lui bizarrement, je n'ai pas beaucoup de souvenir, mais il a des fois était de mon coté, car mon père est quelqu'un d'assez réfléchi, mais n'hésitez pas à nous donner des fessés ou des claques étant jeune, mais de ce côté à présent mon père a extrêmement changé, je vous raconterais son changement dans la partie de après mes 13-14 ans. Voilà, aussi je subissais un certain "harcelement" morale, peut être bizarre mais quand j'étais petit j'étais pas vraiment heureux, mais ça allait voilà. Et ma famille, me disait tout le temps " T'as envie de pleurer, je sais t'as envie de pleurer, ah là tu vas pleurer" des fois sans raison, et inconsciemment ça me donnait envie de pleurer, et derrière on rigolait sur ma gueule. J'en ai parlé à ma mère il y pas longtemps, mais n'assume pas. Cela ne s'est pas fait qu'une seul fois, mais bien souvent. Elle me dit " Je ne devais pas prendre parti de celà" je lui ai répondit " Si, en tout cas j'ai des très bons souvenirs de toi rigolant de mes pleurs" et là c'est monté sur ses grands chevaux et m'a dit que je la soulais qu'elle voulait me voir pour la soirée comme à chaque fois que je lui évoque une vérité qu'elle ne veut pas assumer. J'ai aussi un souvenir qu'un jour on m'a baissé mon pantalon de pyjama, pour me mettre a nu et me donner la honte quand j'étais petit, je m'étais débattu et ont réussi quand même. Au cours de ma jeunesse, seulement 2 personnes m'ont défendu Ma Grand Mère et mon Grand Père. Ils n'ont jamais compris cette injustice, donc ça m'a fait du bien de savoir que je n'étais pas fou, c'était réel. Ma Mamie a souvent tenté de demander à ma mère " Pourquoi? " mais les réponses étaient " C'est mon enfant je fais ce que je veux avec t'es pas sa mère." quand ma Mamie venait, les punitions n'était pas caché, et l'attristait énormément. Elle m'a dit y'a 6 mois qu'elle en pleurait en se demandant comment je tenais quand j'étais petit. Depuis que je suis tout petit, ma grand mère m'a toujours soutenu ducoup, et elle me gratifiait, était heureuse de moi, et je pense que c'est grâce a eux que j'ai pu tenir mon enfance. Mais la fourberie de mes parents s'arrêtaient pas là, ils appellaient mes grand parents dès que je faisais une connerie du style quand j'avais tapé un gars en primaire qui avait dit que ma mère était une pute et tout autre connerie, pour essayer de mettre de leur coté ma grand mère mais ça n'est jamais arrivé. Je dois avouer certain de mes torts aussi J'ai déssiné ma mère pendu quand j'étais en CM2 il me semble, je n'ai pas de souvenir de pourquoi, mais je l'ai surement fait après avoir été puni sans raison, à cause de mon frère et de la naiveté de ma mere. Cet acte m'est souvent reproché dès que je veux faire un reproche sur le comportement de mon frère / ma mère / mon père par rapport à moi. Voilà, tout celà durera jusqu'à ma 6ème/5ème je parle des punitions "pyjama" , après cela j'ai commencé a sortir avec mes amis, mais j'étais très restreint que quelques heures 2-3 et je devais les prévenir 4-5 jours environ en avance. Mais durant ma 5ème je m'étais fait un ami très important durant cette période qui déménagera à Brest. Je vis juste à coté dans une ville de 12 000 habitants Voilà, jusqu'à ma 5ème j'étais un élève modèle notes excellentes, attitude exemplaire. Mais aucune gratitude, aucun enthousiasme face à celà. Arrivant en 4ème, je me retrouva dans une classe à "bordel", j'ai décidé alors de me lacher, pas me restreindre et j'ai commencer à me relacher, faire un peu de connerie, relachant un peu mes notes mais gardant un bon niveau environ dans les 14/15 de moyenne . Ce fut l'année la plus heureuse de ma vie au sein du système scolaire, j'étais heureux d'aller en cours, je savais que j'allais pas me faire engueuler pour rien, que j'allais retrouver mes amis, que j'allais profiter que je pouvais mettre ma famille de coté qui me rendait malheureuse. Mais là le soir c'était pire, les présentations des mots, rendez vous avec ma prof principal. Mais j'étais heureux, je profitais de ma vie et j'épprouvais un bien fou à ma marrer tout les jours sans cesse, de me lever en me disant "Putain une belle journée commence". Vers la fin de ma 4ème j'ai commencé à m'acheter mes vêtements, avec l'argent que je gardais de mes Noels/anniversaires, car depuis ce temps là je récupèrais les anciens vêtements à mon frère qui ne m'allait pas sachant que mon frère était assez gros et moi de corpulence normal. Une chose à savoir, mes parents n'ont jamais voulu faire d'effort par rapport à moi, ils me le disaient " On fera jamais d'effort, c'est pas nous le problème c'est toi " Mes parents m'ont toujours dit " égalité entre tes frères " au niveau aquis / bien. Donc à la fin de ma 4ème, j'ai demandé à mes parents de passer mon BSR comme mon grand frère. Ce fut un refus sans raison, on m'a dit " Tu sais pas traverser une route sans question " je n'ai pas compris, j'ai demandé pendant 2 ans, sans retour positif. Arrivé en 3ème, je me suis un peu calmé, et je fais mon année scolaire. Durant cette année il y a eu un voyage en Espagne avec mon lycée, et à la fin de celui là ma relation avec ma mère a changé. Elle a commencé à faire des efforts avec moi et a commencé à me parler pour autre chose que me punir. Une bonne année, j'étais heureux, comme toujours maintenant quand je sais que j'aurais l'occasion de voir mes amis. J'ai eu mon brevet mention Bien. Mes parents m'ont fait comprendre qu'ils étaient content. Mais mon frère a continué ses choses depuis tout ce temps et n'a jamais arrêté, et ça a relancé en quelque sorte le conflit avec ma mère elle refusait en quelque sorte de me passer avant mon petit frère. Mon petit frère pouvait tout faire et je devais subir. Mon année de seconde s'est bien passé au niveau scolaire pour moi, mais il y a eu beaucoup de bouleversements niveau familiale. En effet mon père a passé cette année à un métier qu'il n'aimait pas. Je n'avais plus besoin de prévenir 10 ans avant de sortir, et mon frère causa énormément de soucis à toute ma famille et plus seulement à moi. Mon frère rentra en 6ème et devena un gros causeur de trouble des mots tout les jours, 8 de moyenne... Mais ça ne troublait pas ma mère, essayant de mettre la faute sur les profs car mon petit frère disait que c'était la faute des profs ses notes/mots et qu'il ne faisait rien au point où elle a fait une lettre a l'éducation nationale pour son prof de math alors qu'on a su que mon frère avait menti. Mon frère est surement un menteur compulsif, et cela est approuvé par mon père et les autres membres de ma famille sauf ma mère. Et là, j'ai vu une inégalité certaine, qui me fera poser beaucoup de questions. Mon frère, en 6ème, avec toutes ses notes et son comportement pouvait sortir quand il voulait, sans demander en avance, et aussi demandait certain habits jolies, donc s'habilla lui même. Ce que j'ai pu aquérir au début de ma 3ème. Mais mon frère causa énormément de trouble, il bousiait l'ambiance de la famille tout les jours, et a tenté d'étranglé notre mère avec son collier, et la tapa. Mon frère et moi ne cotionne pas ça. Mais mon père reglait son comportement, car il avait peur de lui, et n'osait pas faire de chose en sa présence. Ensuite ma mère le grilla en train de fumer, et de voler des bières pour les amener pendant ses sorties engueler un jour, après c'était du passé. Mon petit frère a une sorte de totem d'immunité, il peut tout faire, ça sera du passé et une erreur, à quoi bon tout le monde en fait. Tout l'année se passa dans ce stress, obligant ma mère a prendre des cachets pour supporter cela, mais lui pardonna tout. Mais ma mère n'enguela jamais mon grand frère, étant son protégé, et m'engueuler moi a toute opposition. A chaque je lui disait " Maman pourquoi tu dis rien, pourquoi tu m'engueuler alors que je te dis la vérité?". Au cours de l'année, il a tenté de me couper la main avec un couteau, j'ai pris la lame et je l'ai cassé pour éviter toutes gros problèmes me faire planter en autre et il s'est passé quoi ? Je me suis fait engueler car il a pleuré, en effet la lame a fait des éclats, c'était moi le monstre. Et comme a chaque fois il se metta dans le dos de ma mere pour rire de mon malheur. A partir de ce moment là, le sentiment de mon enfance est revenu, certes je n'étais plus puni, j'avais le controle de la situation sachant que ma mere pouvait plus me mettre la pression au niveau physique, mais j'étais mal. On ne pouvait rien faire, mon petit frère était invincible et j'étais son souffre douleur, avec ma mère comme soutien. J'ai souvent songé a aller le taper, mais je garde tout ça dans mon cerveau, je tiens mentalement. Mon frere ira dormir 3 jours chez ma grand mere mais les a insulter et dénigré. Il passa 1 jour chez ma tata et lui a volé des cigarettes et une cigarette électronique. A partir de ces moments tout le monde comprit que mon frere avait un soucis sauf ma mere. Ca sert a rien que je continue en gros l'année continua comme ça que des merdes a cause de mon petit frere, et mon grand frere et moi ne pouvons rien faire, car notre mere le laissait tout faire. Comme reponse on avait des " C'est le passé, tout le monde fait des erreurs, il est en crise d'adolescence, si je l'engueule il va faire une crise ducoup je le laisse faire ". A la fin de l'année, mon père annonca a ma mere qu'il est muté a coté de Bordeaux l'année prochaine, que c'était sa décision. Il demanda a ma mere de déménager mais elle n'était pas prete, elle lui dit dans 3 ans. Il reviendra tous les week ends. A ce meme moment mes parents décida de mettre mon petit frere au psy il passa 6 séance, lui mentira pendant toute et mes parents décidera d'arreté ne voyant aucun effort. Mon année de 1ère commence, j'ai commencé le permis AAC pendant les vacances eu mon code et commenca la conduite, cette année même. Au fil du temps ma mère racourcira le temps de déménagement est le mettra à 2 ans et elle me dit "Je dit 2 ans pour que tu puisses finir ton bac et ta conduite" Je me suis dit, enfin il pense à moi, enfin je ne suis plus écarté, enfin je ne dois plus tout faire tout seul. Mais celà ne fut qu'obsolète. Il y'a 2 semaines j'ai vite compris la supercherie ma mère avait décidé de déménager l'année prochaine. Pour moi c'est inconcevable de partir, je le dit à ma mère ,"me comprend" et discuta pour me laisser l'année prochaine chez ma tante, idée dont mon père est rétissant. Je lui demanda pourquoi m'avoir encore et encore menti, elle me répondit " J'ai décidé d'enfin penser à moi même " Ces paroles m'ont fait doucement rire, et m'ont touché. Comment peut on dire ça quand on m'a exclu depuis que je suis tout petit, encore une belle preuve que je suis là parceque je suis obligé d'être là. Mais cette fois çi j'ai décidé que je ne me laisserais plus faire, mes amis sont mes créateurs de bonheur, c'est grâce a eux que je suis heureux, et ils voudraient que je parte, a 500km de mon lieu de vie, sans amis, sans mon grand frère qui va prendre un appart avec sa copine, juste avec mon petit frère, ma mère et mon père. C'est du suicide. Tout simplement, une intention pure de me détruire pour de bon mentalement. Alors la décision de rester chez ma tante restera sur table. Mon père a commencé du chantage De toute manière tu descendras, tu n'as pas le choix, si tu restes cette année tu reviens l'année prochaine sans tes amis, tes amis c'est pas pour la vie, c'est pas des vrais amis, t'es pas autonome, t'as pas d'argent, tu seras obligé de nous suivre si tu veux vivre. Après de nombreuses embrouilles il décida de ma parler avec ma mère et me dit " Vu que ta mère veut bien que tu restes je vais pas forcer " j'ai répondu juste un "OK" et là se fut une crise interplanétaire. Soit disant je m'en fous de laisser ma vie, je m'en fous d'eux, je préfère mes amis à eux et tout le tralala. Depuis ce jour là, l'exclusion de ma famille a été terminé. Je fut completement exclu. Il a dit " Il y a la famille, et les autres, il a choisi son camp " en parlant a mes freres et ma mere. Au repas maintenant je dois me servir en dernier, j'ai tenté de me servir il a dit fort et énervé " C'est la famille d'abord " et dès qu'il parle c'est pour me lancer des piques en paraphrase. Mais ce n'est que une fois sur d'autre moment, par exemple quand je sors pas il va me dire " t'as pas de vie tu sors jamais, tu restes tout le temps da,s ta chambre" et si je sors il me dit " c'est sur t'avais besoin de te relaxer hein ironiquement et mechemment " Malgré tout cela, ma mère est quand même gentil, et je vois qu'elle essaye de me comprendre et m'aider, tout en faisant le minimum Donc voici ma situation actuel, mon ressenti d'exclusion de ma famille c'est concrétisé. Mes parents sont intolérants, dès qu'on s'oppose a eux c'est qu'on est immature, qu'on est con, qu'on réfléchi pas. Mais au fond je ne ressens plus trop d'émotion. Sa réaction me rend triste, mais le fait que je vais vivre sans eux me rend heureux. Je subirais plus cette pression dès que je rentrerais. J'ai toujours été vu comme le plus débrouillard, le plus indépendant de mes frères et cela est surement du au fait que je devais faire la plupart des choses moi même. Donc là je vais vivre mon année de 1ere avec ma famille mais sans leur soutien, même si je pense que mon père va redevenir "gentil" dans quelque mois. Je pense que mes parents sont jaloux de mes amis, du fait que je leur donne beaucoup d'importance. Donc voilà, ça m'a fait un grand bien de parler, si vous avez des conseils pour résoudre cette situation ou encore des explications au comportement de ma mère, mon mère ou mon frère n'hésitez pas. $🙂
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je me sens si bien chez vous