🥃 Seconde Partie Pour Donner Une Chance Au Vaincu

Points de vue 19 novembre 2020 - Reproduction interditeL’accès à l’enseignement supérieur s’est massifié, mais l’emprise des diplômes s’est renforcée. L’élitisme social du système scolaire humilie les élèves en difficulté et crée un fossé culturel et politique entre classes sociales. Le point de vue de François Dubet et Marie Duru-Bellat, sociologues. Comme la plupart des pays comparables, la France a connu soixante années de massification scolaire. Le changement est considérable le nombre de lycéens et d’étudiants a été multiplié par huit et le bilan est largement positif si l’on considère l’accroissement de l’accès aux études. Même si nous sommes loin d’une égalité parfaite, les enfants des classes populaires accèdent désormais aux études longues dont ils étaient très largement exclus encore au milieu du XXe siècle. Mais cette égalité relative d’accès au baccalauréat et à l’université a profondément transformé le mode de production des inégalités scolaires en déplaçant les inégalités au sein même de l’école et des parcours scolaires. Alors que la grande inégalité opposait naguère la jeunesse étudiante à la jeunesse laborieuse, un régime d’inégalités plus ou moins fines s’est installé à l’intérieur même du système scolaire. Si de plus en plus de jeunes étudient aujourd’hui, ils ne font pas tous les mêmes études. En se multipliant, le baccalauréat s’est diversifié et hiérarchisé à l’infini, en fonction des filières, des options, des combinaisons de disciplines choisies… Dans l’enseignement supérieur, l’université de masse se distingue des formations sélectives qui se multiplient classes préparatoires, grandes écoles, mais aussi BTS et IUT, tout en développant en son sein même des filières également sélectives double licence, master…. À terme, les vainqueurs de la compétition scolaire sont toujours les mêmes, et les vaincus aussi l’origine sociale reste le facteur déterminant des parcours et des compétences scolaires. On comprend la déception qui résulte de ce constat puisque nous sommes loin du compte de la promesse de l’égalité des chances portée par la massification scolaire. Les vainqueurs de la compétition à laquelle accèdent de plus en plus de jeunes sont toujours les enfants des classes moyennes supérieures, pendant que les vaincus restent ceux des classes populaires les plus défavorisées. La déception est d’autant plus grande que l’école française s’est longtemps perçue comme un îlot de justice dans un monde injuste et, surtout, parce que dans notre pays les inégalités scolaires entre enfants de milieux sociaux différents sont beaucoup plus grandes que ce que supposerait l’impact des seules inégalités sociales, relativement modérées par rapport aux autres pays comparables comme le démontrent obstinément toutes les comparaisons internationales. Comment expliquer ce paradoxe ? Comment expliquer que les vaincus s’en sortent si mal chez nous ? Tradition élitiste et emprise des diplômes Les inégalités scolaires sont d’autant plus fortes et d’autant plus mal vécues en France que tout s’est passé comme si la longue période de massification n’avait pas mis en cause la tradition élitiste de l’école française. Le problème n’est pas que l’école produise des élites – tous les systèmes le font – mais, dans une société attachée à l’égalité de principe de tous, tout le monde devrait avoir le droit, voire le devoir, d’atteindre l’excellence. Ainsi, les formations restent extrêmement hiérarchisées, les classes préparatoires et les grandes écoles coexistent avec les formations de masse. On donne beaucoup plus de moyens éducatifs aux bons élèves, qui sont aussi les plus riches. Les élèves sont évalués et notés en fonction de la distance qui les sépare des élites, etc. Cet élitisme scolaire est si fortement intériorisé par le monde de l’école que la critique des inégalités scolaires en adopte souvent les catégories de pensée. Ainsi, la presse se fait régulièrement écho de la faible présence des enfants des classes populaires dans les grandes écoles, alors que la présence quasi exclusive de ces élèves dans les formations les plus dévalorisées semble aller de soi dès lors qu’on est orienté » en fonction de ses soi-disant incompétences. Nous nous mobilisons pour défendre les classes de latin et les options rares, nous combattons la sélection à l’université, mais défendons les classes préparatoires, alors que le fait que 20 % des élèves qui entrent au collège ont du mal à écrire et à compter ne semble guère nous révolter. Nous voulons plus pour ceux qui ont déjà plus, et l’élitisme qui imprègne les structures et le fonctionnement du système scolaire semble imprégner tout autant les critiques de son caractère injuste, puisqu’on se polarise sur les inégalités que l’on observe au plus haut niveau du système alors que les élèves et les étudiants en cause sont bien moins nombreux que tous ceux qui sont en difficulté dès l’école primaire. Le poids de cet élitisme scolaire n’est pas une simple croyance et il affecte fortement les parcours individuels. Il explique en partie la très forte emprise des diplômes dans notre société bien plus qu’ailleurs, le diplôme fixe le type d’emploi et le revenu auxquels accèdent les jeunes. Alors que les vainqueurs de la compétition scolaire bénéficient quasiment de rentes, les vaincus sont condamnés au chômage et à la précarité, pendant que les étudiants des formations non sélectives s’inscrivent dans une longue période d’insertion durant laquelle ils essaieront de transformer leur niveau académique en compétences professionnelles. Or, plus l’emprise des diplômes est élevée dans une société, plus les inégalités scolaires sont fortes, ce qui se comprend aisément puisqu’il n’y a guère d’autre planche de salut que l’école. Ainsi, le mérite scolaire devient l’équivalent général de tout le mérite des individus ; il ignore des compétences et des qualités des derniers de cordée » dont l’économie et la société ont pourtant besoin. Élitisme de la culture scolaire d’un côté, emprise des diplômes de l’autre, l’école française croit à l’égalité des chances méritocratique. Si le principe de l’égalité des chances n’est pas en soi contestable, il fonde les privilèges » et l’honneur des plus méritants » et dégrade – et parfois humilie – ceux qui n’ont pas manifesté assez de mérite » alors qu’en réalité – souvent – ils n’ont pas hérité de celui de leurs parents... Cette croyance n’est pas sans avoir des effets négatifs sur les individus, la cohésion sociale et la démocratie. Des jeunes disqualifiés Alors qu’il semblait aller de soi qu’une école qui éduque longuement les jeunes produit des citoyens plus à même de s’insérer dans la vie et d’exercer plus librement leurs droits civiques, la réalité est toute différente. La généralisation des diplômes contribuant à en renforcer l’emprise, il n’est plus possible aujourd’hui de prétendre à une insertion professionnelle correcte sans qualification scolaire. Les jeunes les moins dotés scolairement abordent cette épreuve bien moins armés psychologiquement leurs échecs, accumulés souvent dès l’école primaire, minent leur confiance en eux-mêmes, alors qu’à l’inverse, les élèves jugés très tôt comme bons », davantage stimulés par leurs enseignants, gagnent en estime de soi au fil de leurs progressions. Les valeurs partagées par les jeunes tendent également à diverger. En France, le niveau d’éducation renforce le libéralisme culturel [1] [2], mais ceci ne vaut qu’en moyenne par exemple, les inégalités liées à l’origine ethnique sont jugées inacceptables par 75 % des titulaires d’un deuxième cycle universitaire, mais par 54 % seulement des titulaires du seul brevet des collèges ou des non-diplômés. La contrepartie de l’effet du diplôme sur les valeurs libérales est que les moins éduqués adhèrent plus souvent que les autres aux valeurs antidémocratiques ; ils sont plus favorables aux gouvernements autoritaires, aux hommes forts, et plus hostiles aux immigrés… En revanche, les moins diplômés défendent davantage l’égalité sociale que les diplômés, et se montrent plus critiques envers les inégalités les trois quarts des personnes dotées au plus d’un niveau brevet estiment que les différences de revenus, en France, sont trop grandes, alors que 58 % des diplômés d’un second cycle universitaire soutiennent ce point de vue. Les moins diplômés sont également plus critiques envers les injustices scolaires. Les plus diplômés ont davantage confiance envers les autres, dans les institutions ou dans le système politique. Les individus peu diplômés ont une moindre confiance dans leur capacité à participer à la vie politique, et plus largement, à choisir leur vie en toute autonomie. Il s’ensuit le sentiment d’être impuissant, ignoré et méprisé par ceux qui savent ». Et c’est à leurs yeux injuste tout comme les bons élèves jugent davantage que les mauvais que l’école est juste, les personnes les moins diplômées estiment plus souvent que les autres – et à juste titre – que les capacités et les efforts ne sont pas récompensés et, plus globalement, que la société est injuste. Un fossé politique… Ce fossé culturel et idéologique a une portée capitale puisque élites politiques et économiques sont majoritairement formées dans le supérieur, notamment les grandes écoles plus de 70 % des députés sont diplômés de l’enseignement supérieur dans l’Assemblée élue en 2017, alors qu’on en compte seulement 27 % dans la population. Au terme de parcours très sélectifs d’un point de vue académique, les heureux lauréats sont ainsi persuadés qu’ils sont effectivement les meilleurs, et ils sont convaincus de savoir ce qu’il faut faire pour la société. Leur place au sommet des hiérarchies scolaires justifie une façon de gouverner verticale et technocratique. Sachant en outre que les très hauts revenus sont accaparés le plus souvent par les diplômés des grandes écoles, il s’ensuit un isolement des élites, perdant tout contact avec les citoyens ordinaires. Le spectacle de ces élites scolaires dotées du pouvoir économique et politique, alors que l’école est loin d’être perçue unanimement comme juste, est un terreau fertile pour un fort sentiment d’injustice. Ceci se traduit sur le plan politique 78 % des jeunes ayant moins que le bac sont peu ou pas intéressés par la politique, contre 35 % de ceux dotés d’un diplôme supérieur à bac + 2. Non seulement les jeunes les plus diplômés votent plus que les moins diplômés 1,6 fois plus, mais ils sont plus tolérants, plus ouverts d’un point de vue politique. Chez les moins diplômés, les valeurs autoritaires sont plus présentes et l’intérêt pour la politique se distend [3]. Ces écarts sont plus forts dans les jeunes générations, comme si ne pas être doté aujourd’hui d’un certain niveau de diplôme constituait, davantage qu’hier, un facteur de relégation politique. En France, comme dans la plupart des sociétés comparables, ce clivage culturel et moral a de lourdes conséquences politiques. Une grande partie des vainqueurs de la massification scolaire, disposant de toutes les ressources de légitimité, de toutes les opportunités sociales et politiques, adhérant au libéralisme culturel et à la méritocratie définie comme l’égalité des chances, forment un nouvelle classe » se situant plutôt à gauche, chez les Verts et les partis sociaux libéraux. Une classe souvent indignée mais défendant aussi ses intérêts et donc un certain conservatisme, notamment scolaire. Tout le problème vient de ce que, parallèlement, une grande partie des vaincus de l’école démocratique de masse basculent vers l’absentéisme politique, le nationalisme, le culte des hommes forts, la défiance envers la démocratie, l’hostilité aux immigrés et aux plus pauvres, les populismes et l’extrême droite. Se sentant méprisés par les vainqueurs, ils retournent alors les valeurs de l’école contre elle-même puisque l’école ne leur a pas donné ce qu’elle promettait. François Dubet, Marie Duru-Bellat. Dernier ouvrage publié L’école peut-elle sauver la démocratie ?, Paris, Seuil, 2020. Photo / © Taylor Wilcox - Unsplash [1] Courant qui défend les libertés en matière de modes de vie, d’évolution des mœurs, de tolérance aux différences.[2] Cf. Pierre Bréchon, Frédéric Gonthier et Sandrine Astor dir., La France des valeurs. Quarante ans d’évolutions, Grenoble, Presses universitaires de Grenoble, 2019 ; Christian Baudelot et François Leclercq dir., Les Effets de l’éducation, Paris, La Documentation française, 2005.[3] Gérard Grunberg et Anne Muxel, La dynamique des générations », in Gérard Grunberg, Nonna Mayer, Paul M. Sniderman, La Démocratie à l’épreuve une nouvelle approche de l’opinion des Français, Paris, Presses de Sciences Po, 2002, p. 135-170.

^{Lebut de ce projet est de promouvoir la culture africaine à travers la danse et la musique : deux piliers du continent africain. Les objectifs recherchés sont, dans un premier temps, de donner la possibilité aux chanteurs et danseurs locaux de s’exprimer, puis, dans un second temps, de récolter des fonds afin de les reverser à une} Bonjour déja pour commencer , je suis venu ici pour pouvoir faire disparaître le nuage grisant se trouvant depuis quelques semaines au-dessus de ma tête remplie de questions , de doutes mais aussi d'un infime espoir de passer ce fameux Baccalauréat dans 3 ans si mon plan fonctionne aux petits oignons. Pour commencer j'ai 17ans et malheureusement pour moi suite à de nombreuses conneries pour cause en priorité d'une très grande immaturité mais aussi d'un manque de confiance en moi et de problèmes de sociabilité timidité extrême et grande difficulté à aller vers les autres en premier et grande partie d'élèves me rejetant à cause d'une histoire sentimentale , en l'occurence j'ai jouer avec les sentiments d'une fille enfin bref on s'en fou mdr , j'ai fais la très grosse erreur d'arrêter l'école en cours de troisième à quelques semaines du brevet que je n'ai donc pas passer mais honnêtement je m'en contre fiche sévère car de l'avoir ou non , ça ne change aucunement les chôses. J'avais aussi redoubler une année de 5ème parce que je ne travaillais pas , parce que faut être honnête je n'ai pas de difficultés particulières si ce n'est au niveau des sciences et biensûr je parle surtout des Maths , Physique Chimie , , oui.. c'est cruel et sadique de disséquer de pauvres bestioles innocentes aha. Au final ce redoublement m'aura plus enfoncé qu'autres chôses puisque déja l'envie de travail n'était déja pas très active mais imaginez avec un redoublement , au point mort donc. Et puis le fait de se dire qu'on va perdre la moitié de ses potes parce que l'on passera plus que le tier du temps avec eux. Le redoublement c'est vraiment horrible , incroyablement inutile mais pour perdre du temps et pour acquérir de la frustration , c'est le pied. Qui que vous soyez , je vous le déconseille fortement. Suivi de ça deux années sabbatiques à ce jour , à ne rien foutre ou à enchaîner quelques petites semaines de boulots rémunérées heureusement mais j'ai vu très vite que celà ne me plaisait du tout et que j'allais faire celà toute ma vie si je ne réagissais pas très vite pour gagner un salaire mensuel minable , limite esclavage des temps modernes. Et donc tout ça pour finalement avoir une grosse remise en question survenue en même temps que les épreuves du Baccalauréat 2015 que j'aurais dû passer cette année si je n'aurais pas été un petit con qui n'en fait qu'à sa tête. Le déclic c'est ça. Donc j'aimerais savoir si c'est possible d'oublier ce passé cauchemardesque scolairement parlant et donc d'intégrer un Lycée Général dès Septembre même sans avis favorable de mon abruti de proviseur de mon dernier collège , oui je le répète un abruti. Parce que j'ai une très forte motivation à vraiment bosser comme un acharné pour enfin avoir un but précis sur mon avenir , je suis un peu précipité sur les bords mais j'hésiterais vraiment entre la filière L ou ES parce que je ne suis pas un mouton à aller en S alors que j'ai des notes catastrophiques en Sciences mais que je l'ignore juste parce que c'est la classe d'être en S et que ça t'assures d'avoir de grandes possibilités d'emplois à l'avenir en cas de réussites qu'elles soient brillantes ou de justesse. Je parle pour ces moutons là. J'ai eu des avis à propos de mon passage en Seconde Général et on m'a dit que je devais retaper une troisième pour envisager d'aller au Lycée mais je trouve ça absurde car l'enseignement du Lycée est totalement différent de celui du collège et j'estime avoir déja assez perdu d'années comme ça , puis je le répète je n'estime pas avoir de grandes difficultés si ce n'est les Maths , la Physique Chimie et l' , c'est en grande partie un très gros manque d'efforts fournis dans le travail. -Grande facilité en Français je pense que ça se remarque très vite -Grandes capacités dans les langues étrangères. Anglais j'avais gagner le big challenge des 5ème en finissant 1er de mon collège juste pour l'anecdote -Sinon l'Histoire j'adore ça donc après je sais très bien que si je bosse et révise tout ira bien même si ce sera difficile par moment , le choix? Il m'a filé du nez désormais et ce depuis longtemps. -Pour le reste des matières , rien de spécial à dire , on verra bien. D'ailleurs j'ai prévu d'écrire une lettre de motivation au proviseur du Lycée le plus proche de chez moi après avoir pris le temps de checker un peu vos réponses futures pour voir si mon espoir est envisageable ou non et pour mettre le plus de chances de mon côté même si l'évidence de la positivité me trotte dans l'esprit. Merci d'avance et éviter les préjugés je vous en prie , ils me passeront par puis la différence d'âge , franchement je m'en fou , je vais pas là bas pour faire des rencontres , faut vraiment que je pense à ma gueule cette fois-ci. "Le travail est la clé de la réussite dans tout les domaines" Ps Ma motivation est à la grandeur de mon post. Essayezau contraire d’avoir une meilleure lecture de ce qui se passe autour de vous et pendant les interactions. Faites l’effort de jeter un regard à 360° pour repérer les personnes avec qui vous pourriez engager la conversation. Sachez également repérer le moment propice. Pour tout cela, vous allez avoir besoin de vous focaliser sur les autres et non sur vous-même.

Alysia. Astria. Anathos. Le dernier A est à craindre plus que tout car il est retour. L'histoire de Shimy, une victime parmi d'autres, durant le cycle d'Anathos. ATTAQUE ELEMENTAIRE !!! J’ai mis toute toute la puissance possible dans cette attaque. Anathos ne devrait pas survivre à cela. D’ailleurs, aucune silhouette ne sort de l’obscurité pour se précipiter sur nous. C’est bon ? C’est fini ? Le dieu est… vaincu ? Mes amis hurlent de joie et s’élancent vers moi. Je flanche et m’écroule sous l’effet de la fatigue. Gryf me réceptionne juste avant que je ne tombe à terre. Je n’en revient pas. Anathos est mort ?! Plus les secondes s’écoulent, plus j’y croit. Alors, désolé de te décevoir ma petite… En fait, non, je ne suis pas désolé. Je tiens à te prévenir qu’il faut plus qu’une petite * Attaque Elémentaire » pour m’atteindre. Il te manque des années, voire des décennies d’entraînement pour avoir une petite chance de me toucher. Tu manque d’expérience. Tu est faible. Regarde-toi, gisant dans les bras de ton ami car tu n’est pas capable de rester debout. Une seule attaque, et tu tourne de l’oeil… Il va falloir faire mieux. Et qu’espérais-tu ? M’empêcher d’atteindre mon but ? De tuer tes amis ? Pauvre petite… Comme ça fait mal de voir tous ses rêves se briser, comme une vague qui s’écrase contre une falaise… Tu es faible, faible, faible… Incapable de protéger tes compagnons du sort qui les attend. Faible, faible, faible… »* Je me redresse. Sa voix. Encore. Gryf me sent tendue. Il resserre son étreinte. Je le regarde, paniquée. Puis, je me tourne vers l’endroit où Anathos était censé avoir disparu. Soudain, ma respiration se coince. Il est là. C’est lui qui se dessine à travers la fumée de l’attaque. C’est fichu. Je n’ai plus assez d’énergie pour me battre. Faible, faible, faible. Mais je ne peux pas donner raison à Anathos. Impossible. Alors, je me relève. Mon corps souffre le martyr et me supplie de me reposer. Je me relève, malgré la douleur. Malgré la fatigue. Malgré la peur qui me serre le ventre. Si, il n’y a que quelques minutes, j’étais oppressée par la rage, maintenant, j’ai peur. Très peur. Mes jambes tremblent, et menacent de me faire à nouveau tomber. Mais je tiens bon, il le faut. JE NE SUIS PAS FAIBLE !!!!!! Et je ne peux pas laisser mes amis approcher Anathos. Car j’ai compris son plan. Il ne veut pas de Danaël. Pour lui, c’est une enveloppe corporelle provisoire. Ce qu’il veut, c’est moi. Je ne sais pas comment il compte faire pour me posséder, mais son plan implique le meurtre de tout mes amis. Quelle perspicacité. Tu es plus intelligente que je ne le croyais. Visiblement, je t’ai sous-estimée. Mais, je ne compte pas tuer tes amis. Ils le feront tous seuls. Et ce, dans très peu de temps. » Gryf me voit chanceler. Il s’approche de moi, et passe un bras autour de mes épaules tremblantes. J’ai froid. Du coin de l’oeil , je vois le corps de Jadina. Mon imagination me joue des tours, pendant un instant, je l’ai vue remuer. Razzia s’approche de Gryf et moi et fait barrière de son corps. Puis, Razzia change d’avis et court vers Anathos, son sabre à la main. Je me dégage du bras de Gryf et me dépêche de rejoindre Razzia. Il ne doit pas s’approcher du dieu maléfique ! Il risque de mourir ! Gryf me suit. Ana thos, plutôt que d’attaquer Razzia, lance des rayons lumineux vers moi ! Razzia me protège en déviant les rayons grâce à la lame de son sabre. Gryf s’élance vers Anathos – Ordure !!! Tu ne toucheras pas à Shimy ! Ni à mes amis !! – Gryf ! Non !! Ce dernier cri est sorti de ma bouche. J’essaye de courir pour protéger Gryf, mais mes jambes ne peuvent plus. Je m’effondre sur le sol, sachant que je ne peut qu’observer le massacre. Arrivé devant le dieu, Gryf lui hurle – Revient ici, que je te casse la figure !!! – Non, merci, ça va aller, répond Anathos, En fait, c’est toi qui va mordre la poussière. Ah ! Et tu me dois le respect, je suis un dieu, alors vouvoie-moi. – Dans… tes… hhh… rêves… Tu… as… perdu… hhh… ton statut… de… hhh… dieu… depuis longtemps… hhh… rétorque Gryf, tout en tentant de le frapper. – Bon. Alors tant pis pour toi. En quelques instant, Anathos a retourné la situation, pour la mettre à son avantage. Le souffle coupé, je vois Gryf esquiver, encore, et encore. Mais le dernier coup fait mouche. Mon ami se fait soulever de terre, la poitrine transpercée par l’épée divine ! Gryf tombe juste devant moi. Il me regarde. Je vois ses lèvres s’entrouvrirent. Il tente de me dire quelque chose. Je me penche. Mon oreille est toute proche de sa bouche. Des larmes coulent sur mes joues, et tombent sur lui, quand je m’aperçois qu’il ne fait que répéter un mot en boucle. Un nom. Mon nom. Anathos nous observe, silencieux. Je t’avais prévenue, petite elfe. Tes amis vont tous mourir ainsi, les uns après les autres. » Razzia tremble de colère. Il fonce vers Anathos. Je veux l’en empêcher, mais, je ne peux pas, je n’en ai pas la force. Les larmes coulent en cascade de mes yeux. Mon coeur me paraît si lourd. Je ne peux plus. Quoi que je fasse, la fin sera la même. Sa voix me revient en tête. Imaginaire, cette fois. Tu es faible, faible, faible. Non, je me répugne. Je ne peux pas me rendre sans combattre. Je me lève, et parle en direction d’Anathos -Anathos. Tu es sans coeur. Je croyais que les dieux étaient miséricordieux. Tu as tué Danaël, Jadina, et Gryf. Tout ces gens, chers à nos coeurs. Il étaient nos amis, nos meilleurs amis. Une nouvelle famille. Mais, à présent, ils sont partis. Pour toujours. Par ta faute. Tu es un monstre. Anathos éclate de rire. -Et tu voulais quoi, avec ce joli discours ? J’ai déjà gagné, et tu le sais. Vous le savez tous, autant que vous êtes. Razzia profite que le dieu soit occupé par moi pour attaquer Anathos par derrière. – Razzia, Razzia, Razzia. Ce n’est pas très fair-play d’attaquer par derrière, et tu le sais. Mais puisque tu veux jouer sans les règles, alors, jouons sans. La lame de l’épée divine siffle et… le bras de Razzia avec. Razzia tombe. Mon espoir aussi. – NOOOOOOOOOOOOOOOOON !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! RAZZIA !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Je me remets à pleurer. Moi d’ordinaire si réservée ne peux contenir mes émotions plus longtemps. Anathos se tourne vers moi. Tss tss tss… Pathétique. Veux-tu que je te raconte une histoire ? Il y a très longtemps, lorsque les dieux peuplaient encore Alysia j’ai aperçu des enfants. Ils jouaient. Je les ai regardés. Au bout d’un moment, l’un d’eux à fini par m’apercevoir. Je lui ai fait si peur, qu’il s’est mis à pleurer. J’ai aussitôt détesté ce bruit. Il appelait sa mère. Cette dernière à attendu son retour toute la journée, et toute la nuit. Il n’est jamais revenu chez lui. Sache que je déteste les gens qui pleurent. Même si j’ai besoin de toi, je peux bien m’amuser un peu, non ? Bientôt, tu n’auras même plus tes yeux pour pleurer. » Il tend la main. Les rayons lumineux filent vers moi. Ils s’approchent de plus en plus vite et… Noir. Douleur. Souffrance. Noir. ********************************************************************************Sont cités capucineg900

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Hades regorge décidément de secrets… Parlons maintenant d’ennemis effrayants ! Certes, le jeu compte quatre boss que vous savez normalement vaincre si vous êtes un lecteur assidu de ! Cependant, il en reste un dernier à présenter… Le boss secret du merveilleux jeu de Supergiant Games est facilement trouvable mais il s’avère que certains ne l’ont jamais affronté. Par conséquent, voici comment affronter l’adversaire secret du jeu qui n’est autre que Charon le nocher des enfers. Comment affronter Charon ? Au bout d’un certain nombre de runs vous aurez remarqué la présence du nocher à chapeau à différents moments de chaque niveau. Pour pouvoir débloquer ce combat il faudra lui donner du nectar afin de consolider votre relation avec lui. Une fois le nectar offert, vous aurez besoin de chance. À chaque passage en boutique, il y a une chance pour qu’à côté de l’imposant habitant de l’enfer se trouve une bourse avec écrit “emprunter 300 golds”. Emparez vous de cette bourse, Charon s’énerve alors et téléporte Zagreus dans un lieu inédit, une arène au poteaux d’or. Les répliques de Charon sont également redoutables Liste de ses attaques Charon utilise principalement sa rame pour infliger des dégâts mais invoque également les âmes des morts qui ont un pattern difficile à cerner. Voici la liste des mouvements de Charon. Les noms des attaques sont choisis par votre humble serviteur moi Ram’attack Charon effectue un swing avec sa rame deux fois toujours dans votre direction, la portée est élevée et les dégâts aussi. Vague des morts une vague partant d’un des bouts de la plateforme. Au départ il n’y en a qu’une mais leur nombre augmente au fur et à mesure du combat. Onde étourdissante le boss effectue cette attaque lorsque Zagreus est au corps à corps. Elle n’inflige pas de dégâts mais fait reculer et étourdit pendant un court laps de temps. Boomerang mortel Une attaque qui envoie un nuage mortel qui se dirige vers Zagreus. Une fois esquivé, l’attaque revient vers son propriétaire. Comment battre Charon ? Pour battre Charon, il faut être préparé. Le boss inflige de très lourds dégâts et bouge très vite. Je vous conseille de l’affronter lors de votre rencontre à l’Elysée, vous serez bien plus équipé en bienfait et en points de vie. Si vous avez un peu de chance, vous verrez la bourse à l’un des passages dans sa boutique là-bas. Cependant si vous tombez sur lui tôt dans la run, voici quelques conseils pour survivre Bougez constamment, ne restez pas immobile plus d’une seconde et abusez des dashs en passant devant et derrière lui. Si vous êtes au fusil ou à l’arc, gardez de la distance, ne restez pas près de lui. Son attaque au corps à corps sort très vite donc si vous jouez au contact, assénez quelques coups et reculez en dashant. Les armes destructrices contre lui sont l’arc de Chiron et toutes les formes d’Exagryphe petite préférence pour la forme d’Hestia. Côté bienfait, essayez d’avoir l’élan d’Athéna qui peut annihiler le boss rapidement en renvoyant les nuages violets. Si vous avez un appel qui vous rend invulnérable, n’hésitez pas à en abuser pendant les vagues successives qui prennent parfois tout l’espace disponible sur la plateforme. Enfin, ne vous découragez pas ! Apprenez le pattern et surtout ne perdez pas espoir pendant le combat si vous voyez la barre de vie baisser doucement. Charon a beaucoup de vie mais abandonne lorsqu’il lui reste un cinquième de sa barre de vie. Victoire ! Une fois Charon vaincu, il vous offre une carte de réduction valable pour toute la run ainsi que la bourse contenant les 300 pièces. Des avantages de taille qui facilitent grandement l’affrontement final. Soyons clairs, si vous battez Charon, vous ne ferez qu’une bouchée d’Hadès !

33) Exemples de situations pour parler. Seul ; Tu prépares une situation de communication, tu joues la scène, tu t’enregistres puis tu te regardes, tu t’écoutes. Dans l’académie; L’académie est un outil fantastique pour vaincre ta peur, te sentir plus fort, en confiance et parler ! ^{Beaucoup de personnes et probablement des hommes et des femmes de votre entourage ne vous encouragent pas dans votre reconquête amoureuse. En effet, ceux qui vous entourent pensent souvent que vouloir une deuxième chance avec son ex n’est pas une bonne idée. Vous devez entendre des phrases du genre si la relation s’est terminée une fois alors c’est que ce vous n’étiez pas fait l’un pour l’autre. C’est évidemment faux de penser ainsi. Il est possible de reconstruire une relation amoureuse forte et de se relancer avec son ex sur de bonnes bases. Mais pour cela encore faut-il persuader son ex de revenir, ce qui est une autre histoire ! Je tenais dans cet articles à vous présenter quelques arguments pour reprendre contact avec un ex ou une ex afin de faire pencher la balance en votre faveur. Mais surtout des astuces pour obtenir cette nouvelle chance avec cette personne que vous aimez. Avoir une deuxième chance avec son ex n’est pas donné à tout le monde alors si vous avez cette possibilité, saisissez-la ! Pour agir au mieux, je vous guide pas à pas dans mon livre 70 conseils de pro pour récupérer son ex. Les 3 raisons pour lesquelles on veut une deuxième chance avec son ex ! Si vous hésitez encore à mettre en place une reconquête amoureuse, voici 3 arguments pour vous motiver à ne pas avoir de regrets. Ce qui vous permettra aussi de sauter le pas et d’avoir une chance de récupérer votre moitié, même plusieurs mois après la séparation ! Comme vous le verrez un peu plus bas, ce sont d’ailleurs pour des raisons idiotes que d’anciens partenaires ne se laissent pas une seconde chance. Oubliez les reproches que l’on peut vous faire et les jugements que vous pouvez entendre. Sachez que certaines des plus belles histoires d’amour peuvent être le fruit d’une reconquête amoureuse. Il existe 3 raisons qui conduisent une personne à vouloir une seconde chance avec son ex. Vous sentez que vous n’avez pas été au bout de votre histoire… Avez-vous le sentiment d’être passé à côté d’une histoire pour de mauvaises raisons ? Vous avez l’impression que tout aurait pu être magique ? Pourtant, vous avez rompu et vous regrettez d’en être arrivé là. Aujourd’hui vous vous rendrez compte que votre ex est une personne qui compte pour vous, et surtout vous avez conscience que des changements sont impératifs. Mais le plus important c’est que vous êtes prêt à évoluer. Désormais, il ne reste plus qu’à le montrer à votre ex 😉 Le temps n’a pas fait son effet et les bons moments restent gravés Vous avez beau avoir eu des aventures, des périodes durant lesquelles vous étiez en couple et vous avez même peut-être aimé d’autres personnes. Mais vous n’arrivez pas à oublier les bons moments passés avec votre ancien partenaire. C’est simple, vous n’avez qu’une envie, l’embrasser fougueusement à nouveau. Par moment, la nostalgie est omniprésente et une photo, un lieu ou une ville vous rappelle constamment votre passé avec lui ou avec elle. C’est plus fort que vous car vous n’arrivez pas à oublier les périodes les plus heureuses de votre vie, que vous partagiez ensemble. Pour obtenir une deuxième chance avec son ex, il faut que ce sentiment soit partagé et que ce dernier ou cette dernière ressente la même chose que vous. Si c’est le cas, il ne faut pas hésiter à évoquer ce que vous ressentez en discutant ensemble des bons moments du passés. Souvent le temps joue en votre faveur car on a plutôt tendance à se souvenir du meilleur et à mettre de côté le négatif. D’ailleurs, évacuez totalement les aspects négatifs de votre ancienne relation pour éviter de faire fuite votre ex partenaire une fois de plus. Gardez uniquement le meilleur et jouer à fond sur la carte du tu te souviens qu’est-ce qu’on était bien ensemble ! ». Vos vies sont devenues monotones l’un sans l’autre Si vous remarquez que vous étiez mieux ensemble plutôt que chacun de votre côté, il ne faut pas hésiter une seule seconde. Faites le lui savoir et posez une simple question. Si nous étions plus heureux ensemble pourquoi ne pas envisager de laisser une seconde chance à notre amour ? » Parfois en reconquête amoureuse, la fierté d’un des deux anciens partenaires, voire des deux a une incidence négative sur leur futur amoureux car aucun ne souhaite faire un pas vers l’autre et préfère au contraire attendre un éventuel retour de l’autre. Sauf que si personne ne fait l’effort de prendre sur soi, et malgré qu’ils soient prêts à laisser une deuxième à leur ex, il ne se passera rien ! Obtenir une seconde chance après la rupture amoureuse Les interdits à ne pas commettre ! La volonté ne suffit malheureusement pas pour récupérer son ex et avoir une nouvelle chance après une séparation sentimentale. Il est important d’avoir des actions fortes mais surtout de ne pas aggraver la situation qui est parfois déjà très sensible. Ne quémandez jamais une seconde chance ! La première des choses à faire et c’est l’une des plus importantes est de ne pas demander une seconde chance. Que ce soit par sms, sur les réseaux sociaux, par lettre, en face à face si vous demandez clairement une opportunité de montrer votre changement et de reprendre votre précédente relation de couple là ou elle s’est arrêtée, vous commettez une erreur. En effet, il ne faut pas montrer ses intentions trop rapidement et pire encore se mettre trop en demande dans cette situation. Obtenir une seconde chance avec son ex se fait de manière plus subtile. Ne jouez pas sur sa jalousie La deuxième chose à ne pas faire est d’utiliser la jalousie. C’est soit-disant la méthode miracle, en tout cas c’est ce que les films présentent ! Mais en réalité vous n’arrangez rien et surtout vous risquez de créer encore plus de tensions. Le fait d’utiliser la jalousie pour créer un électrochoc chez son ex est souvent dangereux pour deux raisons. La première est que votre ex peut revenir par fierté mais rien n’a changé il/elle va donc repartir rapidement. La deuxième est qu’il/elle peut se comporter comme vous et du coup vous allez avoir du mal à réagir. Agissez par vous-même ! Enfin, l’un des interdits que je retrouve souvent quand on veut faire revenir son ex est d’utiliser une sorte d’intermédiaire pour aller plaider sa cause et/ou obtenir des ex n’est pas bête et agir de cette manière peut ne pas vous vous être favorable tout simplement parce que vous en réglez aucun problème en déléguant. Ce n’est pas avec votre meilleure amie que votre ex veut discuter. Fort heureusement, il existe des méthodes bien plus efficaces lorsque l’on souhaite obtenir une deuxième chance avec son ex. Comment obtenir une seconde chance avec son ex ? S’il ne faut pas supplier son ex ou bien lui demander clairement de se remettre ensemble, comment avoir une énième chance avec son ex après une séparation ? Je vous l’explique en 3 points ci-dessous. C’est assez paradoxal mais il ne faut pas montrer vos intentions et au contraire agir comme si vous ne vouliez pas la même relation… Il est important de passer par une phase de changement Si vous suivez mon site dpeuis quelques temps et que vous connaissez ma philosophie pour récupérer son ex, vous savez probablement que lorsqu’une ex vous dit qu’il/elle ne vous aime plus, ou qu’il n’y a plus aucune chance, ce n’est pas forcément la vérité ! Votre ex reste sur le passé qui est bien souvent négatif. Il/elle ne se rappelle pas des moments merveilleux mais plutôt de vos défauts et de vos disputes. Si vous voulez utiliser les sentiments et les souvenirs vous faites donc erreur. Le but du changement et de la prise de distance n’est pas de faire revenir votre ex directement car ça ne marche pas ainsi, sinon ce serait trop simple. Mais tout simplement de mettre un doute dans son esprit de façon progressive. Quand il/elle aura ce doute et qu’il/elle prendra conscience que vous êtes une personne différente. Physiquement, socialement, émotionnellement alors il/elle sera ouverte au dialogue et au rapprochement. Pour aller plus loin dans ce processus, je vous oriente vers ma formation comment prouver à son ex qu’on est compatible. Passer par une phase d’amitié/séduction Je vous rassure je me doute bien que votre objectif n’est pas de devenir amie avec votre ex, bien au contraire. Toutefois, comme je l’ai répété, il faut du temps et une certaine distance à la fois physique dans les premiers temps mais émotionnelle ensuite. Ne pas montrer ses intentions est nécessaire si on veut réussir à avoir une chance avec son ex. Le but de cette phase, qui est ambigüe évidemment, n’est pas de tomber dans une friendzone mais plutôt de donner du temps à son ex de voir ses changements. Cela, sans être trop dans la demande et surtout de lui montrer que votre but n’est pas d’être dans la même relation qu’auparavant mais plutôt de se concentrer sur le bonheur ! Pour séduire son ex il faut de la nouveauté ! Comme je vous l’ai expliqué, votre ex reste sur le passé négatif si vous voulez reconstruire la même relation qui a aboutie a une rupture vous faites une erreur et lui//elle va s’en méfier. Pour attirer son ex à nouveau il est donc essentiel d’utiliser ce que j’appelle l’effet nouveauté que vous avez du créer dans votre quotidien pendant la phase de distance. Quand vous proposez des activités par exemple, ne choisissez pas le même restaurant qu’avant, ne proposez pas des rendez-vous identiques pour ne pas réveiller les souvenirs qui risqueraient de lui rappeler un peu trop votre histoire précédente. Le fait de prouver votre changement et de montrer quelque chose de nouveau est une chance pour obtenir une nouvelle opportunité avec son ex. Et vous, jusqu’où êtes-vous prêt à aller pour avoir la chance de le/la retrouver ? Si vous souhaitez une aide personnalisée afin de savoir comment vous y prendre pour reconquérir votre ex et surtout quelles stratégies mettre sur pied, je vous oriente vers les formules de coaching avec moi ou avec les membres de mon équipe de coachs. Amicalement. Votre coach en rupture amoureuse pour avoir une deuxième chance avec son ex, Alexandre CORMONT} . 409 289 276 118 92 67 256 460

seconde partie pour donner une chance au vaincu