WILA VIE et DUR dans trop de chose MAIS COMME meme il fallait l'accepter et continuer a vivre que sa soit dans le bonheur ou le malheur j'ai Ă©cris cet article a propos d'un ami qui nous a quittĂ© mĂ© mnt j lĂ© modifier c gĂ©nĂ©ral et c pour tt ceux qui ont perdu d'amis ou de famille (pĂ©re -mĂ©re grand pĂ©re-mĂ©re) ou tel proche personne un article pour Dieu pĂšre plein de tendresse », voilĂ  une expression que l’on peut entendre Ă  l’église on l’emploie, par exemple, dans les priĂšres eucharistiques pour les rassemblements ». Pourtant, accoler le mot de tendresse Ă  celui de Dieu ne va pas de soi. Un Dieu tendre est-il encore un Dieu ? Le qualifier ainsi, n’est-ce pas le rĂ©duire Ă  nos petits besoins, parmi lesquels celui d’ĂȘtre un peu chouchoutĂ©s, cajolĂ©s, dans un monde parfois dur et froid comme le marbre ? Ne faut-il pas au contraire aujourd’hui parler d’un Dieu fort, capable d’affronter le mal qui dĂ©figure l’homme et menace la crĂ©ation ? Qu’est-ce donc que cette tendresse » de Dieu ? Un petit tour par la Bible pourrait s’avĂ©rer ici pĂšre pris aux entrailles »Si l’on avait Ă  Ă©clairer ce mot par un terme biblique, il faudrait sans doute choisir entrailles », comme on l’entend par exemple dans cette parole de Dieu adressĂ©e Ă  son peuple, dans le livre d’IsaĂŻe Une femme oublie-t-elle son petit enfant, est-elle sans pitiĂ© pour le fils de ses entrailles ? MĂȘme si les femmes oubliaient, moi, je ne t’oublierai pas » IsaĂŻe 49,15.Dans le Nouveau Testament, la mĂȘme mĂ©taphore est employĂ©e, par exemple pour dĂ©crire ce que provoque, en JĂ©sus, la vue des foules sans berger Marc 6, 34 par exemple ou bien lorsque Luc dĂ©peint les sentiments du pĂšre qui voit son fils prodigue revenir Luc 15, 20. On traduit alors souvent par ĂȘtre saisi de compassion » ce qui littĂ©ralement signifie ĂȘtre pris aux entrailles » le verbe grec estsplankhnizomai.VoilĂ  qui donne une tonalitĂ© spĂ©cifique Ă  la tendresse de Dieu loin d’ĂȘtre un sentiment de surface, elle a son siĂšge dans les entrailles, c’est-Ă -dire au plus profond, lĂ  oĂč le corps est le plus Ă©pais – et donc Ă©galement le plus mystĂ©rieux –, en cette zone complexe oĂč la vie se recompose ce sont les organes de la digestion et oĂč elle se tisse en secret les entrailles sont Ă©galement les organes de la reproduction. En langage biblique, c’est lĂ  que s’enracine la descendance, lien ancrĂ© en cette partie centrale de l’ĂȘtre particuliĂšrement disposĂ©e aux va-et-vient de la tendresse indĂ©racinableTout cela peut sembler relever d’un vulgaire anthropomorphisme. Mais c’est ainsi que parle la Bible, dans sa simplicitĂ©. Et je trouve cela tout Ă  fait heureux notre Dieu a choisi, pour se dire, des images pas trĂšs compliquĂ©es, Ă  la portĂ©e de tous, puisqu’elles touchent Ă  l’élĂ©mentaire de l’humanitĂ©. Et si l’on y rĂ©siste, si ça peut mĂȘme parfois nous indigner, eh bien, c’est peut-ĂȘtre le signe que justement, ce Dieu-lĂ  n’est pas tel que nos rĂȘves l’auraient imaginĂ©. VoilĂ  oĂč s’enracine sa grandeur il tient Ă  nous au-delĂ  de ce que nous pouvons la Bible parle de cette maniĂšre de la tendresse de Dieu, elle signale de quel type d’attachement il s’agit. Elle fait comprendre qu’il est – littĂ©ralement – viscĂ©ral. C’est-Ă -dire inscrit au plus profond de Dieu, d’une maniĂšre absolument indĂ©racinable. Dieu a de la tendresse pour nous parce que nous sommes issus de ses entrailles, et qu’ainsi, nous lui demeurons prĂ©sents par ce lien originaire, indestructible, toujours l’humanitĂ© est blessĂ©e, lorsqu’elle se dĂ©chire, ou au contraire quand elle est en joie, en paix, en amitiĂ©, lui-mĂȘme est touchĂ© en son centre vital. De mĂȘme que nous ne pouvons pas sauter en dehors de notre ombre, Dieu ne peut pas s’abstraire du lien par lequel il nous donne la vie. Nous sommes inscrits en ce qu’il est, et il se renierait lui-mĂȘme s’il brisait ce qu’il a ainsi pourquoi la tendresse de Dieu est pardonnante tout simplement parce que lui s’est engagĂ© vis-Ă -vis de nous et qu’il ne reviendra pas en arriĂšre, quels que soient nos errances, nos refus, notre ingratitude. Le lien qui nous unit Ă  lui, jamais il ne le remettra en question, ses bras sont toujours ouverts pour nous accueillir, comme ceux du pĂšre du prodigue dans la si nous pouvons l’oublier si rapidement, c’est exactement pour la mĂȘme raison. Dieu ne nous fait pas payer sa tendresse, il n’y a aucune dette Ă  rembourser qui viendrait pĂ©riodiquement agiter devant nous des billets de crĂ©ances. Rien de plus facile que d’oublier un tel propriĂ©taire qui loge gratis, et de considĂ©rer que nous sommes chez nous, et que lui
 Lui ? Qu’est-ce qu’il a Ă  voir lĂ -dedans ? » Si l’on peut se surprendre soi-mĂȘme Ă  raisonner ainsi, c’est parce que Dieu a d’emblĂ©e renoncĂ© Ă  nous coincer dans une Ă©conomie comprend alors aussi que le PĂšre de JĂ©sus Christ n’est pas un super-papa poule. Il ne nous cajole pas comme pour nous tenir au chaud dans un cocon. Car sa tendresse a la force d’un engendrement, d’un appel Ă  naĂźtre Ă  nous-mĂȘmes, Ă  notre libertĂ© et donc Ă©galement, Ă  notre responsabilitĂ©. Et dans ce jeu d’appel et de rĂ©ponse, il n’y a rien de crispĂ©, pas de stress, mais un climat joyeux, un regard prĂȘt Ă  s’émerveiller devant l’autre, comme on le trouve par exemple dans le Cantique des Cantiques. C’est ce mĂȘme Ă©lan qui soulĂšve les rĂ©cits Ă©vangĂ©liques, oĂč l’on entend rĂ©sonner de bout en bout une promesse de retrouvailles, un banquet de fĂȘte et de rĂ©conciliation, un bienheureux ». De bout en bout ? MĂȘme lorsque la croix projette ses ombres inquiĂ©tantes ?Dieu retourne notre violenceVoilĂ  qui permet d’éclairer un autre aspect de la tendresse de Dieu elle engage sur des chemins risquĂ©s. Car dĂšs lors que la vie n’est plus gardĂ©e pour soi mais que l’on se reconnaĂźt liĂ© Ă  un autre au plus profond, cela expose quand mĂȘme un Dieu qui en a fait les frais. Sa confiance en nous et la vigueur de l’alliance qu’il avait nouĂ©e ont conduit le Christ jusqu’à la croix. ApparaĂźt alors jusqu’oĂč peut l’amener sa maniĂšre d’ĂȘtre avec son peuple. Mais lĂ  oĂč toute cette histoire aurait pu ĂȘtre rĂ©duite Ă  nĂ©ant, il rĂ©ussit un coup de force stupĂ©fiant notre violence qui voulait en finir avec tout donateur, l’éliminer, il l’a retournĂ©e. Elle devait le dĂ©truire, elle s’est acharnĂ©e sur son corps, et il en est de ces blessures, le Christ a fait l’occasion de porter jusqu’à Dieu ce que nous sommes. Il en a fait un passage vers le PĂšre, jusqu’en ce lieu oĂč l’amour est en attente, jusqu’en ses le crucifiĂ© revient vers ses disciples pour leur montrer ses plaies et son cĂŽtĂ© ouvert, ce n’est pas pour dresser la liste des reproches ; c’est simplement pour signaler ce que l’on peut faire avec le pire de l’humanitĂ©. C’est pourquoi JĂ©sus peut les porter comme un sceau, une signature inscrite en son propre corps, et les montrer Ă  ses proches, et Ă  travers eux, Ă  nous tous. Des marques de notre violence, il ne retient que cela la rĂ©ponse de l’humanitĂ© est dĂ©sormais gravĂ©e en son corps, c’est-Ă -dire, dans l’ĂȘtre mĂȘme de Dieu, et au plus profond. Nous exposer Ă  la tendresse de DieuC’est ainsi que notre Dieu est fort. À la violence, il n’oppose pas une autre violence. Non. Mais il retourne comme un gant nos appĂ©tits destructeurs, pour que, de portes closes qu’ils Ă©taient, ils puissent ĂȘtre reconnus comme la quĂȘte maladroite d’un chemin, l’appel au secours d’une humanitĂ© enfermĂ©e en ses propres de quoi est capable sa tendresse. Elle est discrĂšte et invincible, exactement comme lorsque ces mĂšres de grands criminels disent Oui, je sais, il a fait ça ; mais c’est mon fils, que voulez-vous, je l’aime
 ». Alors, que dire de ses jubilations lorsque l’humanitĂ© se met Ă  rĂ©pondre sur le mĂȘme ton, Ă  oublier de calculer, Ă  se laisser aller Ă  la joie et au don !Comment faire pour que cette tendresse irrigue davantage notre vie ? La difficultĂ© vient souvent que l’on manque la premiĂšre marche, celle qui consiste Ă  reconnaĂźtre comment Lui dĂ©jĂ  nous aime, tels que nous sommes. À penser que sa tendresse supposerait de notre part des conditions, des preuves de bonne volontĂ© ou je ne sais quoi, nous risquons fort de nous Ă©puiser en gesticulations coĂ»teuses et vaines, reculant ainsi toujours ce qui est dĂ©cisif se laisser aimer par lui, simplement parce que c’est nous et parce que c’est pourquoi je suggĂšre parfois de prendre quelques minutes chaque jour uniquement pour cela pour se laisser aimer par Dieu, sans rien lui dire, sans rien se dire non plus, bref, sans rien dire du tout ni rien faire, comme on se laisse dorer au soleil sur la plage. Celui qui ose s’exposer ainsi pourrait s’en trouver profondĂ©ment renouvelĂ© car il permet alors Ă  Dieu de le rejoindre en ses fibres les plus profondes, en ses entrailles, se rĂ©vĂ©lant ainsi, au fil des jours, fils ou fille de sa tendresse. Onlit dans la Bible: “Son esprit [ rouaáž„] sort, il retourne Ă  son sol; en ce jour- lĂ  pĂ©rissent ses pensĂ©es.”. — Psaume 146:4. Comme on le voit, le dĂ©part du rouaáž„ ou esprit, qui retourne Ă  Dieu, ne signifie pas la continuation de la vie consciente. “Ta parole est vĂ©ritĂ©â€ “L’esprit retourne Ă  Dieu” À PROPOS de la mort de l’homme, le texte d’EcclĂ©siaste 129 127, NW dĂ©clare “Avant que la poussiĂšre retourne Ă  la terre, comme elle y Ă©tait, et que l’esprit retourne Ă  Dieu qui l’a donnĂ©.” Quel est cet esprit ? A-​t-​il une personnalitĂ© ? En quel sens retourne-​t-​il Ă  Dieu ? Étant donnĂ© que la mort de l’homme est comparĂ©e au retour de l’esprit hĂ©breu, rouaáž„ Ă  Dieu, il est Ă©vident que la vie de l’homme dĂ©pend de l’esprit. C’est ce que confirme un autre passage des saintes Écritures, le Psaume 10429 Traduction du monde nouveau, oĂč il est dit “Si tu [JĂ©hovah] retires leur esprit, ils expirent, et Ă  leur poussiĂšre ils retournent.” Le disciple Jacques Ă©crivit “Le corps sans esprit est mort.” Jacq. 226, Darby. L’esprit est donc ce qui anime le corps, c’est-Ă -dire la force vitale invisible. Toutefois, remarquez que l’esprit ou force vitale est actif non seulement en l’homme, mais aussi dans les animaux. Parlant de la destruction de la vie humaine et animale par le dĂ©luge universel aux jours de NoĂ©, le texte de GenĂšse 722 Traduction du monde nouveau rapporte “Tout ce en quoi le souffle [rouaáž„, esprit] de la force de vie Ă©tait en action dans les narines, c’est-Ă -dire tout ce qui Ă©tait sur le sol ferme, mourut.” Dans EcclĂ©siaste 319 Traduction du monde nouveau, cette vĂ©ritĂ© est soulignĂ©e en ces termes “Car il y a un hasard pour ce qui est des fils des humains et un hasard pour ce qui est de la bĂȘte, et ils ont un hasard identique. Comme meurt l’un, ainsi meurt l’autre ; et ils ont tous un mĂȘme esprit, de sorte qu’il n’y a pas de supĂ©rioritĂ© de l’homme sur la bĂȘte.” Pour ce qui est de l’esprit ou force vitale, la Parole de Dieu montre donc que l’homme n’est pas supĂ©rieur Ă  l’animal. Tous deux ont en commun le mĂȘme esprit invisible. Celui-ci ne peut donc avoir une personnalitĂ©, mais il doit ĂȘtre une force impersonnelle. L’esprit invisible ou force vitale qui est en l’homme et dans les animaux peut ĂȘtre comparĂ© Ă  l’électricitĂ©, autre force invisible. Celle-ci peut ĂȘtre utilisĂ©e pour faire fonctionner divers types de machines et d’appareils. Par exemple, l’électricitĂ© peut faire fonctionner un gĂ©nĂ©rateur de chaleur, un ventilateur, un ordinateur ou un poste de tĂ©lĂ©vision qui retransmet des images et des sons. La mĂȘme force invisible qui produit des sons dans un appareil peut produire de la chaleur dans un autre. Toutefois, le courant Ă©lectrique ne revĂȘt jamais les caractĂ©ristiques des machines ou des appareils qu’il fait fonctionner. De mĂȘme, l’esprit ou force vitale, qui donne Ă  l’homme la possibilitĂ© de faire des gestes propres Ă  la vie, ne diffĂšre en rien de l’esprit qui permet Ă  l’animal de faire certains mouvements. À la mort, quand l’esprit quitte le corps de l’homme, il ne garde aucune caractĂ©ristique des cellules de celui-ci. Par exemple, l’esprit ne garde pas les renseignements renfermĂ©s dans le cerveau d’un homme et il ne continue pas de rĂ©flĂ©chir hors des cellules de ce cerveau. La Bible nous dit “Son esprit sort, il retourne Ă  son sol ; en ce jour-​lĂ  pĂ©rissent ses pensĂ©es.” Ps. 1464, Traduction du monde nouveau. “S’il [le Tout-Puissant] ne pensait qu’à lui-​mĂȘme, s’il retirait Ă  lui son esprit et son souffle, toute chair pĂ©rirait soudain, et l’homme rentrerait dans la poussiĂšre.” — Job 3414, 15. Le cas des personnes qui ont Ă©tĂ© ressuscitĂ©es d’entre les morts dĂ©montre que l’esprit ou force vitale est impersonnel. Nous ne lisons nulle part qu’elles se soient souvenues d’une existence consciente durant la pĂ©riode de leur mort. Lazare, qui Ă©tait mort pendant quatre jours, n’a pas parlĂ© d’une Ă©ventuelle existence consciente. S’il avait fait une telle expĂ©rience, il en aurait sans doute parlĂ©, car cela aurait Ă©tĂ© trĂšs intĂ©ressant pour ses compagnons et leur aurait rĂ©vĂ©lĂ© des renseignements jusque-​lĂ  inconnus. Il ne faut pas non plus oublier qu’une personne dĂ©cĂ©dĂ©e n’a jamais Ă©tĂ© auparavant au ciel, avec Dieu ; ce ne peut donc ĂȘtre la personnalitĂ© privĂ©e du corps qui “retourne Ă  Dieu”. Seul JĂ©sus-Christ a eu une existence prĂ©humaine dans les cieux. En une certaine occasion, il dĂ©clara “Aucun homme n’est montĂ© au ciel que celui qui est descendu du ciel, le Fils de l’homme.” Jean 313. JĂ©sus n’aurait pas pu parler ainsi si l’esprit des hommes qui Ă©taient morts avant sa venue sur la terre avait prolongĂ© l’existence de leur personnalitĂ© dans les cieux. Ainsi, mĂȘme le Fils de Dieu a rendu tĂ©moignage au fait que l’esprit est une force vitale impersonnelle. Mais cet esprit impersonnel ou force vitale retourne-​t-​il vraiment en la prĂ©sence de Dieu dans les cieux ? Non. En effet, nous ne recevons pas cette force vitale directement de Dieu. Elle nous est transmise par l’intermĂ©diaire de nos parents lors de notre conception. Étant donnĂ© que l’esprit ou force vitale n’est pas venu directement de la prĂ©sence de Dieu, il ne peut retourner’ en un lieu oĂč il n’était pas auparavant. En outre, la façon dont le mot “retourner” ou “revenir” est employĂ© dans la Bible n’implique pas forcĂ©ment un mouvement proprement dit d’un endroit Ă  un autre. Par exemple, dans II Chroniques 306 Traduction du monde nouveau, nous lisons “Fils d’IsraĂ«l, revenez Ă  JĂ©hovah, le Dieu d’Abraham, d’Isaac et d’IsraĂ«l, pour qu’il revienne Ă  ceux qui restent d’entre vous.” Le retour’ d’IsraĂ«l Ă  JĂ©hovah signifiait abandonner une mauvaise conduite pour se conformer de nouveau aux voies de Dieu. Le retour’ de JĂ©hovah vers IsraĂ«l signifiait qu’il accordait de nouveau Ă  ce peuple une attention favorable. Dans les deux cas, le retour implique une attitude et non un mouvement proprement dit d’un endroit Ă  un autre. Pour prendre un exemple moderne, on peut parler d’une affaire ou d’une propriĂ©tĂ© dont le contrĂŽle passe d’une personne Ă  une autre. Ainsi, dans certains pays, le contrĂŽle des chemins de fer a pu passer d’une entreprise privĂ©e au gouvernement. Quand un tel transfert se produit, le matĂ©riel des chemins de fer reste oĂč il est, mais la direction change de main. Pareillement, pour ce qui est de l’esprit ou force vitale, il ne se produit aucun mouvement proprement dit entre la terre et les sphĂšres cĂ©lestes. Mais le droit Ă  la vie en tant que crĂ©ature intelligente, dont a bĂ©nĂ©ficiĂ© auparavant la personne dĂ©funte, revient Ă  Dieu. Ce qui est nĂ©cessaire pour ramener Ă  la vie la personne dĂ©funte, c’est-Ă -dire l’esprit ou force vitale, est entre les mains de Dieu. Cet esprit est retournĂ© Ă  lui, car la personne dĂ©cĂ©dĂ©e n’en dispose plus dĂ©sormais. C’est Dieu qui dĂ©cide s’il lui accordera de nouveau l’esprit par le moyen d’une rĂ©surrection. Le fait que les perspectives de vie future d’un homme dont l’esprit est retourné’ Ă  Dieu dĂ©pendent entiĂšrement du CrĂ©ateur explique les paroles du Psaume 316 315, NW, qui dĂ©clare “Je remets mon esprit entre tes mains.” Celui qui s’exprima ainsi comptait sur Dieu pour garder ou prĂ©server son esprit ou force vitale durant sa mort Job 1413-15. Il mettait son espĂ©rance en Dieu pour ce qui Ă©tait de retrouver par la suite cette force vitale grĂące Ă  une rĂ©surrection. Le tĂ©moignage de la Bible sur la condition et l’espĂ©rance des morts n’offre donc aucune contradiction. “Les morts ne savent rien, et il n’y a pour eux plus de salaire, puisque leur mĂ©moire est oubliĂ©e.” Eccl. 95. Le fait que “l’esprit retourne Ă  Dieu” met donc en Ă©vidence le CrĂ©ateur, la Source de la vie, qui peut aussi la redonner. Quiconque a menĂ© une vie telle qu’il n’a pas Ă©tĂ© rejetĂ© par Dieu se verra de nouveau accorder la force vitale par l’intermĂ©diaire du Christ ; il sera ressuscitĂ© d’entre les morts. AlBaqarah 156. qui disent, quand un malheur les atteint : « Certes nous sommes Ă  Dieu, et c’est Ă  Lui que nous retournerons ». 156. Alla th eena i tha a sa bat-hum mu s eebatun q a loo inn a lill a hi wa-inn a ilayhi r a ji’oon a {156} Ű§Ù„Ù‘ÙŽŰ°ÙÙŠÙ†ÙŽ Ű„ÙŰ°ÙŽŰ§ ŰŁÙŽŰ”ÙŽŰ§ŰšÙŽŰȘْهُمْ Ù…ÙŰ”ÙÙŠŰšÙŽŰ©ÙŒ Ù‚ÙŽŰ§Ù„ÙÙˆŰ§ Ű„ÙÙ†Ù‘ÙŽŰ§ لِلَّهِ ÙˆÙŽŰ„ÙÙ†Ù‘ÙŽŰ§ Ű„ÙÙ„ÙŽÙŠÙ’Ù‡Ù Ű±ÙŽŰ§ŰŹÙŰčُونَ Return to the blog of salma-marokiina ​ 0 0 ​0 Comment Posted on Sunday, 11 July 2010 at 330 AM Comments Hearts Remix CommentThe author of this blog only accepts comments from haven't logged ici pour poster un commentaire en Ă©tant identifiĂ© avec ton compte Skyrock et un lien vers ton blog ainsi que ta photo seront automatiquement ajoutĂ©s Ă  ton commentaire. Next post Voyezl’affection profonde de Dieu pour son peuple ! Voyez aussi dans le peuple lui-mĂȘme, l’image de ce que sont nos propres coeurs, et la seule façon de revenir quand nous nous sommes Ă©loignĂ©s de Dieu. Or, la façon dont Dieu s’occupe de quelqu’un qui 29 septembre 2020 Ma priĂšre est que ce soit le dĂ©clencheur. Si cela ne nous rend pas dĂ©sespĂ©rĂ©s pour le rĂ©veil, si cela ne nous oblige pas Ă  retourner au Seigneur et Ă  implorer Sa misĂ©ricorde, alors je ne suis pas sĂ»re que quoi que ce soit le fera. Nous sommes en chute libre. » Anne Graham Lotz, fille de l’évangilste Billy Graham, a rĂ©alisĂ© une interview pour le Christian Post. Elle y a lancĂ© un appel urgent Ă  la repentance, prĂ©cisant que l’AmĂ©rique avait une “fenĂȘtre” pour retourner Ă  Dieu, ajoutant, “mais ce n’est qu’une fenĂȘtre, et elle va se fermer”. “Dieu nous abandonne Ă  nous-mĂȘmes, et je crois que c’est lĂ  oĂč nous en sommes actuellement, c’est vraiment le jugement de Dieu. L’AmĂ©rique a une fenĂȘtre d’opportunitĂ© pour retourner au Seigneur, mais ce n’est qu’une fenĂȘtre, et elle va se fermer. Nous allons trouver notre nation sans Dieu, et sans Lui, nous n’avons pas sa protection, nous n’avons pas sa sagesse. Si nous ne faisons pas attention, nous allons totalement perdre notre chemin. L’AmĂ©rique deviendra mĂ©connaissable. Le monde est actuellement un endroit trĂšs dangereux. Nous avons dĂ©sespĂ©rĂ©ment besoin de Dieu.” Anne Graham Lotz estime que l’AmĂ©rique est attaquĂ©e “socialement et racialement”, prĂ©cisant “on a l’impression d’ĂȘtre attaquĂ©s de maniĂšre invisible” et espĂšre que tout cela pourrait agir comme un “dĂ©clencheur”. “C’est plus que des troubles. On a l’impression d’ĂȘtre attaquĂ©s de maniĂšre invisible. Ma priĂšre est que ce soit le dĂ©clencheur. Si cela ne nous rend pas dĂ©sespĂ©rĂ©s pour le rĂ©veil, si cela ne nous oblige pas Ă  retourner au Seigneur et Ă  implorer sa misĂ©ricorde, alors je ne suis pas sĂ»re que quoi que ce soit le fera. Nous sommes en chute libre.” © Info ChrĂ©tienne - Courte reproduction partielle autorisĂ©e suivie d'un lien "Lire la suite" vers cette page. SOUTENIR INFO CHRÉTIENNEInfo ChrĂ©tienne Ă©tant un service de presse en ligne reconnu par le MinistĂšre de la Culture, votre don est dĂ©ductible de vos impĂŽts Ă  hauteur de 66%.
ï»żNoussommes Ă  Dieu et Ă  lui nous retournons. C'est avec une immense tristesse que nous avons appris la disparition de feu Hassen Jegham fondateur de Dar El
Avec joie je cĂ©lĂšbre pour la premiĂšre fois l’Eucharistie dans cette basilique du Latran, cathĂ©drale de l’évĂȘque de Rome. Je vous salue tous avec grande affection le trĂšs cher cardinal vicaire, les Ă©vĂȘques auxiliaires, le clergĂ© diocĂ©sain, les diacres, les religieuses et les religieux et tous les fidĂšles laĂŻcs. J’adresse Ă©galement mes salutations Ă  monsieur le maire et Ă  son Ă©pouse, ainsi qu’à toutes les autoritĂ©s. Marchons ensemble dans la lumiĂšre du Seigneur – Nous cĂ©lĂ©brons aujourd’hui le deuxiĂšme dimanche de PĂąques, appelĂ© aussi de la Divine MisĂ©ricorde ». Qu’elle est belle, cette rĂ©alitĂ© de la foi pour notre vie la misĂ©ricorde de Dieu ! Un amour aussi grand, aussi profond, celui de Dieu pour nous, un amour qui ne fait pas dĂ©faut, qui nous saisit toujours par la main et nous soutient, nous relĂšve, nous – Dans l’Évangile d’aujourd’hui, l’apĂŽtre Thomas fait justement l’expĂ©rience de la misĂ©ricorde de Dieu, qui a un visage concret, celui de JĂ©sus, de JĂ©sus RessuscitĂ©. Thomas ne se fie pas Ă  ce que les autres ApĂŽtres lui disent Nous avons vu le Seigneur » ; la promesse de JĂ©sus qui avait annoncĂ© je ressusciterai le troisiĂšme jour, ne lui suffit pas. Il veut voir, il veut mettre sa main dans la marque des clous et dans son cĂŽtĂ©. Et quelle est la rĂ©action de JĂ©sus ? La patience JĂ©sus n’abandonne pas Thomas l’entĂȘtĂ© dans son incrĂ©dulitĂ© ; il lui donne le temps d’une semaine, il ne ferme pas la porte, il attend. Et Thomas reconnaĂźt sa propre pauvretĂ©, son peu de foi. Mon Seigneur et mon Dieu » par cette invocation simple mais pleine de foi, il rĂ©pond Ă  la patience de JĂ©sus. Il se laisse envelopper par la misĂ©ricorde divine, il la voit en face, dans les plaies des mains et des pieds, dans le cĂŽtĂ© ouvert, et il retrouve la confiance il est un homme nouveau, non plus incrĂ©dule, mais rappelons-nous aussi Pierre par trois fois, il renie JĂ©sus, juste au moment oĂč il devait lui ĂȘtre plus proche ; et quand il touche le fond, il rencontre le regard de JĂ©sus qui, avec patience, sans paroles, lui dit Pierre, n’aies pas peur de ta faiblesse, aies confiance en moi » ; et Pierre comprend, sent le regard d’amour de JĂ©sus et pleure. Qu’il est beau, ce regard de JĂ©sus – que de tendresse ! FrĂšres et sƓurs, ne perdons jamais confiance en la misĂ©ricorde patiente de Dieu !Pensons aux deux disciples d’EmmaĂŒs le visage triste, une marche vaine, sans espĂ©rance. Mais JĂ©sus ne les abandonne pas il parcourt le chemin avec eux, et pas seulement ! Avec patience, il explique les Écritures qui le concernaient et il reste avec eux pour partager le repas. C’est le style de Dieu il n’est pas impatient comme nous, nous qui voulons souvent tout et tout de suite, mĂȘme avec les personnes. Dieu est patient avec nous car il nous aime, et qui aime comprend, espĂšre, fait confiance, n’abandonne pas, ne coupe pas les ponts, sait pardonner. Souvenons-nous de cela dans notre vie de chrĂ©tiens Dieu nous attend toujours, mĂȘme quand nous nous sommes Ă©loignĂ©s ! Lui n’est jamais loin, et si nous revenons Ă  lui, il est prĂȘt Ă  nous la parabole du pĂšre misĂ©ricordieux me fait toujours grande impression, cela me fait impression parce qu’elle me donne toujours une grande espĂ©rance. Pensez au plus jeune fils qui Ă©tait dans la maison de son pĂšre, il Ă©tait aimĂ© ; et pourtant il veut sa part d’hĂ©ritage ; il s’en va, il dĂ©pense tout, il arrive au plus bas niveau, plus loin de son pĂšre ; et quand il a touchĂ© le fond, il a la nostalgie de la chaleur de la maison paternelle et il retourne. Et le pĂšre ? Avait-il oubliĂ© son fils ? Non, jamais. Il est lĂ , il l’aperçoit de loin, il l’attendait chaque jour, Ă  chaque moment il est toujours restĂ© dans son cƓur comme un fils, mĂȘme s’il l’avait abandonnĂ©, mĂȘme s’il avait dilapidĂ© tout le patrimoine, c’est-Ă -dire sa libertĂ© ; le pĂšre, avec patience et amour, avec espĂ©rance et misĂ©ricorde n’avait pas cessĂ© un instant de penser Ă  lui, et Ă  peine l’aperçoit-il encore au loin, il court Ă  sa rencontre et l’embrasse avec tendresse, la tendresse de Dieu, sans une parole de reproche il est revenu ! Et c’est cela la joie du pĂšre. Dans le fait d’embrasser son fils, il y a toute cette joie il est revenu ! Dieu nous attend toujours, il ne se fatigue pas. JĂ©sus nous manifeste cette patience misĂ©ricordieuse de Dieu pour que nous retrouvions confiance, espĂ©rance, toujours ! Un grand thĂ©ologien allemand, Romano Guardini, disait que Dieu rĂ©pond Ă  notre faiblesse avec sa patience et c’est le motif de notre confiance, de notre espĂ©rance cf. Glaubenserkenntnis, WĂŒrzburg 1949, p. 28. C’est comme un dialogue entre notre faiblesse et la patience de Dieu, c’est un dialogue qui nous donne espĂ©rance, si nous le – Je voudrais souligner un autre Ă©lĂ©ment la patience de Dieu doit trouver en nous le courage de revenir Ă  lui, quelle que soit l’erreur, quel que soit le pĂ©chĂ© qui est dans notre vie. JĂ©sus invite Thomas Ă  mettre la main dans les plaies de ses mains et de ses pieds, et dans la blessure de son cĂŽtĂ©. Nous aussi nous pouvons entrer dans les plaies de JĂ©sus, nous pouvons le toucher rĂ©ellement ; et cela arrive chaque fois que nous recevons avec foi les Sacrements. Dans une belle homĂ©lie saint Bernard disait Par les plaies [de JĂ©sus], je puis goĂ»ter le miel de ce roc et l’huile qui coule de la pierre trĂšs dure cf. Dt 32,13, c’est-Ă -dire goĂ»ter et voir combien le Seigneur est bon » HomĂ©lie sur le Cantique des Cantiques 61, 4. C’est justement dans les plaies de JĂ©sus que nous sommes assurĂ©s, c’est lĂ  que se manifeste l’immense amour de son cƓur. Thomas l’avait compris. Saint Bernard se demande mais sur quoi puis-je compter ? Sur mes mĂ©rites ? Mais mon mĂ©rite, c’est 
 la misĂ©ricorde du Seigneur, et je ne manquerai pas de mĂ©rite tant que la misĂ©ricorde ne lui fera pas dĂ©faut. Si les misĂ©ricordes de Dieu se multiplient, mes mĂ©rites seront nombreux » Id., 5. Ceci est important le courage de m’en remettre Ă  la misĂ©ricorde de JĂ©sus, de compter sur sa patience, de me rĂ©fugier toujours dans les plaies de son amour. Saint Bernard arrive Ă  affirmer Mais qu’arrivera-t-il si j’ai Ă  me reprocher quantitĂ© de fautes ? “LĂ  oĂč le pĂ©chĂ© s’était multipliĂ©, la grĂące a surabondĂ©â€ Rm 5,20 » Ibid.. Quelqu’un parmi nous peut peut-ĂȘtre penser mon pĂ©chĂ© est tellement grand, mon Ă©loignement de Dieu est comme celui du plus jeune fils de la parabole, mon incrĂ©dulitĂ© est comme celle de Thomas ; je n’ai pas le courage de retourner, de penser que Dieu puisse m’accueillir et qu’il m’attende, moi. Mais Dieu t’attend, toi, il te demande seulement le courage de venir Ă  lui. Combien de fois dans mon ministĂšre pastoral on m’a rĂ©pĂ©tĂ© PĂšre, j’ai beaucoup de pĂ©chĂ©s » ; et l’invitation que j’ai toujours faite est Ne crains pas, va chez lui, il t’attend, lui fera tout ». Que de propositions mondaines entendons-nous autour de nous, mais laissons-nous saisir par la proposition de Dieu, la sienne est une caresse d’amour. Pour Dieu, nous ne sommes pas des numĂ©ros, nous sommes importants, ou mieux, nous sommes le plus important de ce qu’il a ; mĂȘme pĂ©cheurs, nous sommes ce qui lui tient le plus Ă  son pĂ©chĂ©, Adam Ă©prouve de la honte, il se sent nu, il ressent le poids de ce qu’il a fait ; et pourtant Dieu ne l’abandonne pas si Ă  ce moment-lĂ , avec le pĂ©chĂ©, commence l’exil de chez Dieu, il y a dĂ©jĂ  la promesse du retour, la possibilitĂ© de retourner Ă  Dieu. Dieu demande immĂ©diatement Adam, oĂč es-tu ? », il le cherche. JĂ©sus est devenu nu pour nous, il a pris sur lui la honte d’Adam, la nuditĂ© de son pĂ©chĂ© pour laver notre pĂ©chĂ© par ses plaies nous avons Ă©tĂ© guĂ©ris. Rappelez-vous celui de saint Paul de quoi je me vanterai, sinon de ma faiblesse, de ma pauvretĂ© ? C’est vraiment dans le fait de ressentir mon pĂ©chĂ©, dans le fait de regarder mon pĂ©chĂ© que je peux voir et rencontrer la misĂ©ricorde de Dieu, son amour et aller Ă  lui pour en recevoir le ma vie personnelle, j’ai vu bien des fois le visage misĂ©ricordieux de Dieu, sa patience ; j’ai vu aussi en de nombreuses personnes le courage d’entrer dans les plaies de JĂ©sus en lui disant Seigneur, me voici, accepte ma pauvretĂ©, cache dans tes plaies mon pĂ©chĂ©, lave-le avec ton sang. Et j’ai toujours vu que Dieu l’a fait, il a accueilli, consolĂ©, lavĂ©, frĂšres et sƓurs, laissons-nous envelopper par la misĂ©ricorde de Dieu ; comptons sur sa patience qui nous donne toujours du temps ; ayons le courage de retourner dans sa maison, de demeurer dans les blessures de son amour, en nous laissant aimer par lui, de rencontrer sa misĂ©ricorde dans les sacrements. Nous Ă©prouverons sa tendresse, si belle, nous sentirons qu’il nous embrasse et nous serons nous aussi plus capables de misĂ©ricorde, de patience, de pardon, d’amour. . 319 263 302 477 182 114 101 396

nous sommes Ă  dieu et Ă  lui nous retournons